Fantasme

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Aujourd’hui je vous offre un article hors du commun. Un article qui n’est pas de ma plume exceptionnellement. J’ai proposé à L. de publier un de ses jolis mails. Texte dans lequel elle partage avec moi son fantasme, celui de notre rencontre à venir. A lire ce texte je remarque assez agréablement comment L. me décrit et je suis tout sourir de voir mes traits de caractère si bien decrit en ses mots.  Je n’ai pas réellement l’habitude que l’on parle de moi ainsi. Aussi je retrouve quelques petits details que nous avons déjà vécu elle et moi ce qui réveil par ailleurs d’agréables souvenirs. Et pour finir, une petite précision pour bien comprendre : je suis la blonde et L. (Lolita) la brune 😉

Désormais, je vous invite à découvrir son récit par ces quelques lignes…

Il était presque vingt heures. Frissonnante, Clarisse entra dans son appartement. Elle avait deux jours de repos, et elle venait de faire des courses. La jolie blonde savait qu’elle n’entrait pas dans un appartement inhabité ; Et pour cause. Il y avait peu de lumières, et tout était calme. Juste des petites lueurs. En un clignement de paupières, la jeune femme devina vite de quoi il s’agissait ; des bougies. Elle devina alors très vite la scène, un sourire s’étalant sur son visage. Elle était là. Debout, devant elle. En haut talons, un corset s’enroulant harmonieusement autour de ses forces, cachant presque pudiquement ses seins. Une jupe de cuir galbait ses cuisses, de façon moulante. Ses cheveux bruns mi longs étaient coiffés de façon lisses, dégageant son visage, lui maquillé ; des lèvres chatoyantes, des yeux encadrés par du fard à paupières noir. Elle était attirante, Clarisse comprenait qu’elle s’était fait belle pour elle. Elles avancèrent ensemble, l’une vers l’autre, leurs lèvres venant se rejoindre avec passion. Les mains de la blonde se glissèrent naturellement dans le dos, sur les fesses de sa Lolita, les caressant, les redécouvrant avec bonheur. Lolita laisse passer un soupir, la plaquant doucement contre le mur, ses mains faisant tomber le haut de la blonde, une chemise blanche qui lui sciait parfaitement la poitrine. Les lèvres de la brune descendirent dans le cou, puis sur ses seins, les libérant de son soutien gorge. Elle embrassa, les lécha, les mordilla. Lolita voulait doucement l’exciter et lui donner envie.

«  Je ne sais pas comment tu fais avec mes seins, mais c’est juste incroyable… »

Murmura la jolie Clarisse. Lolita sourit doucement et se contenta de les pincer, venant ensuite les embrasser encore et encore. Voilà une journée que la brune était chez Clarisse, elle devait rester pour quatre supplémentaires. Sous la chaleur d’août, les deux femmes sourirent de concert et Lolita effleura avec douceur la joue de son amante.

« Tu es magnifique… »

La blonde rougit et elles rirent, complice. Lolita entraîna sa blonde dans leur chambre, l’allongeant. Elles se blottirent l’une contre l’autre, s’échangeant de doux baisers, des regards brillants de plaisir, d’excitations, d’envie. Des câlins, des étreintes volées, des paroles douces plus tard, un massage, les jeunes femmes commencèrent à balader leurs mains sur leurs corps, de doux gémissements venant hanter la pièce. Suçant de façon insolente le doigt de Clarisse, Lolita sourit, avant de descendre ses lèvres, alors que son corset et sa jupe tombèrent au sol. La brune déshabilla la blonde et caressa son petit bouton de plaisir, déjà gonflée. Elle sourit en le constatant, venant ajouter sa langue à l’équation. Regardant dans les yeux sa partenaire, Lolita prenait son temps, jouant à la mauvaise fille. Elle se cambra alors pour que la blonde voit ses fesses, alors que cette dernière gémissait, des petits spasmes la traversait. Venant la pénétrer de ses doigts fins, la brune constatait avec satisfaction que le plaisir de Clarisse se décuplait à une vitesse folle. Sa langue et des doigts étaient ses instruments de plaisir. Lors d’un ultime assaut, Clarisse se cambra finalement, folle de plaisir, terrassée par l’orgasme. La laissant s’en remettre pendant quelques secondes, la brune s’allongea à ses côtés, l’embrassant avec envie. Clarisse lui sourit avant de se mettre au dessus d’elle ;

” Maintenant Lolita, tu es à moi pour toute la nuit… “

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