Séance de Noël – Part II
Léna sonnait au portail, c’était l’heure pour nous de sauter dans le grand bain. Je sentais Papang faire les 100 pas dans l’appartement, il était assez stressé, d’autant plus que l’information pour lui était très soudaine. Je m’en suis voulu un moment, mais je savais que la surprise et le plaisir serait pour lui d’autant plus grand.
Nous accueillons Léna et son complice qui nous rapporte deux bonnes bouteilles de vin. Ce sont visiblement de bons vivants, je suis certaine qu’on va s’entendre. Léna est pétillante comme je m’imaginais. Son sourire m’a plu tout de suite, aussi enjoué que chaleureux. J’étais à l’aise avec cette femme. Son complice, lui aussi, nous fit à Papang et moi très bonne impression.
Nous nous sommes posés et avons ouvert une bouteille sur le plan de travail de la cuisine. Nous avons fait connaissance, échangé quelques regards. Le désir montait en moi très fort. Je mourrais d’envie d’aller goûter le vin aux lèvres de cette femme. Je décidais de prendre les devants. Je fis lever Léna pour l’embrasser à pleine bouche… C’était à la fois doux et passionné, j’ai adoré.
J’apprenais bien vite à qui j’eus à faire lorsqu’elle me poussa vers l’arrière en demandant à nos Messieurs de débarrasser la table de ses verres… Elle me plaqua, les fesses tout contre le rebord de la table, avant de me faire basculer. Ni une ni deux, je me retrouvais allongée sur la table, mon con à la vue de tous. Léna en prise entre mes deux cuisses, Papang à ma gauche et l’autre Monsieur à ma droite.
Je croyais rêver tant la situation était dingue. La belle Léna me dit quelque chose du genre « tu vas voir comment je vais m’occuper de toi » avant de porter sa langue à mon clito. Quelle femme, j’adore ! J’étais trempée c’était sûr, et ma belle Léna ne manqua pas de nous le faire remarquer. Papang passa un doigt. « Oh, mais c’est vrai, ça ! » avant de le lêcher soigneusement tout en plantant ses yeux dans les miens. Ces hommes me palpaient les seins, me les pinçaient, les prenaient en mains fermement sans oublier de passer leur langues dessus tandis que Léna s’appliquait et donnait de toute son energie entre mes cuisses. Vous n’avez pas idée une seule seconde du moment fou que j’étais en train de vivre. Dans ma tête, c’était le feu d’artifice.
Je ne mis pas longtemps avant de jouir sous la langue de ma belle complice, le souffle haletant et les idées brumeuses. C’était tellement bon… J’eus très envie de lui rendre la pareille. Je me mis assise sur la table et pris le visage de ma belle entre mes deux mains. Je lui susurrais à l’oreille à quel point j’avais adoré ce qu’elle venait de me faire. Puis, langoureusement, je l’embrassais. Je goûtais à ses lèvres toute la cyprine que j’avais bien pu y déposer. Sa salive, mélangée à mes fluides autour de nos deux langues enlacées, me plu énormément.
Je remis les pieds sur le sol et j’enlaçais madame que je n’arrivais pas à lâcher d’un centimètre. Papang se tenait derrière moi, collé et me susurrait à l’oreille « alors, elle te plaît cette petite Léna » et tout sourire, je lui répondis oui de la tête. Pendant ce temps-là, Léna tout contre moi se délectait des baisers dans le cou de son complice, posté derrière elle lui aussi. Je parcourais son corps de mes doigts, lentement, délicatement. Ses seins d’une douceur infinie, sa peau couleur café, ses longs cheveux bouclés magnifiques.
J’avais très envie de rendre la pareille à Lena. Alors, je la pris par la main pour la conduire jusqu’à notre lit ou je l’allongeais délicatement. J’embrassais ses pieds, ses mollets, ses cuisses jusqu’à remonter tout doucement jusqu’à son visage. J’entrepris de passer un doigt entre ses deux lèvres toutes humides elle aussi. Je comptais bien lui montrer à quel point moi aussi, je voulais la satisfaire.
Je glissais en elle mon lush que j’allumais au niveau le plus bas. Puis, avec mes doigts, ma langue, je faisais onduler ma belle Léna pendant que Papang et son complice, un de chaque côté s’occupaient d’elle eux aussi. J’avais très envie de la sentir jouir sous ma langue et sous mes doigts. Ce qui ne tardait pas à arriver.
En bonnes gourmandes que nous sommes elle et moi, nous avons ensuite continué à réjouir nos hommes, l’un puis l’autre. Nous nous mélangions tous les quatre jusqu’à sucer ses messieurs et nous faire prendre comme des chiennes, à quatre pattes sur le lit.
Nous avons passé un moment merveilleux que Papang n’est pas prêt d’oublier. Il s’est surpris à aimer me voir avec un autre homme tout en ne me quittant pas du regard. Pour ma part, j’ai adoré les voir Léna et lui se donner du plaisir. J’avoue que cela m’a énormément excitée. Je sais de toute façon qu’elle et moi, nous nous reverrons très vite ! Et à ce moment-là, j’ai déjà hâte !