Séances “découvertes” appréhender les plaisirs douloureux
Après cette première nuit passée avec Monsieur. Après avoir physiquement fait connaissance dans un lieu neutre, avoir constaté qu’en réalité tout comme avant notre rencontre tout se passe toujours aussi bien, nous étions tous les deux ravi de la tournure que prenaient les choses. Et Monsieur décida bien entendu de me revoir, ce qui me comblait parfaitement.
Les rencontres qui ont suivi à la première étaient des moments ou Monsieur me découvrait, et ou je découvrais Monsieur. Nous allions mettre a nu nos attentes, nos désirs et découvrir ensemble nos plaisirs. J’entends par là que j’allais apprendre à me soumettre à cet homme et devenir l’objet de ses désirs (là est mon plaisir) et subir avec goût tout ce que Monsieur désirerait bien m’affliger, et lui permettre d’obtenir tout le plaisir que je suis en capacité de lui procurer. Je ne songe qu’a ça, lui plaire, le satisfaire ! Voir son regard, ou plutôt le deviner, l’écouter m’insulter et couler d’excitation comme la bonne chienne que je suis pour Lui.
Sa main – Premier outil de torture
Rien de tel que la sensation du peau à peau. Cette proximité des corps, ce contact charnel. Alors que le SM justifie de tout un tas d’objets et d’accessoires de torture et de douleurs, le goût simple et néanmoins efficace d’une bonne claque sur le cul n’est pas à négliger. Surtout pas pour moi. De nombreux dominants je suppose, tendent au contraire à frustrer cet aspect charnel, et mettre le plus possible la distance en minimisant les contacts physique, ce qui peut en un sens je suppose, éloigner l’attache sentimentale de la relation, et frustrer le(la) soumis(e). Personnellement, je fantasme sur ses mains, depuis le tout départ. Je contemple ses mains au moins autant que son sexe, discrètement, à la différence que je n’en tire qu’un sentiment de plaisir très égoïste, dont je suis assez honteuse. Je désir toujours un contact avec celles-ci, j’attends patiemment. J’apprécie lorsqu’il caresse ma joue du bout des doigts comme si j’était une petite chatte qui cherchait les caresses en penchant la tête contre sa main les yeux fermés et remplis de reconnaissance. J’aime aussi ses doigts dans ma bouche, lorsqu’il me fouille, tout comme dans mon con, et mon cul… Mais lorsque je sent sont attention se porter sur mes fesses, que je sent ses mains s’approcher de celles-ci, et en une fraction de seconde les frapper sans ménagement, je prend alors un infini plaisir. Monsieur aime me fessées, et c’est la première façon que Monsieur à employé pour me faire souffrir et rougir le cul. J’adore cela !
Badinage intensif
J’ai découvert la badine déjà lors de notre première rencontre, mais de façon assez rapide et légère. Une sorte de petit avant goût de ce que cet objet pouvait promettre de beaucoup plus intéressant. Ce n’est rien de plus qu’un petit ustensile de jardinage au départ, une tige de bambou, fine, longue et qui à de quoi faire blêmir lorsque celle ci se trouve entre les mains de Monsieur. J’ai donc pu faire plus ample connaissance avec l’objet fétiche et pas des moindre efficace de Monsieur. Que se soit sur ma poitrine ou mon cul, je ne reste jamais insensible aux coups de badine, la douleur que cela me procure est jusqu’alors la plus forte qu’il m’et été possible de connaître. Il faut dire qu’en dehors de quelques coup de ceinture auparavant, je n’ai jamais vraiment gouté à la douleurs intense. Et la badine était pour moi l’entrée en matière dans la véritable douleur, ce qui me fit prendre conscience que véritablement, je ne pouvait plus faire marche arrière, et qu’il fallait aujourd’hui que j’assume qui j’étais et que je considère mon plaisir comme je le ressent, et que j’accepte de croire que la douleur soit pour moi vecteur certain de plaisir sexuel.
Jusqu’alors, comme vous le voyez les façons de m’infliger la douleurs sont assez restreinte à ce moment de ma relation, mais je ne vois pas cela d’un mauvais œil, je suis au contraire très excitée à l’idée de découvrir de nouvelles façons de souffrir, et je sais par avance que mon Maître à tout son temps pour cela, je pense aussi qu’il connaît mon impatience et ma curiosité insatiable, pour cela, il me travail aussi, et m’éduque comme il se doit pour corriger mon comportement indécent. Alors je comprend qu’il n’est ni bon, ni digne de mon statut de soumise que de m’employer à brusquer mon Maître, je commence à comprendre que la patience est une vertu qui me serait bénéfique et me permettrait de savourer un peu plus les instants que je vie sans penser sans cesse à tout avoir tout de suite. Je sais qu’il y a une foultitude d’objets de torture à découvrir pour moi et je n’en suis que plus hâtive de vivre de nouvelles sensations, toujours plus délicieuses et excitantes j’imagine…
A quand les séances suivantes…