Petite pétasse effrontée – Séance du 14 Mars

Pour cette nouvelle séance, nous nous retrouvions mon maître et moi au petit matin.

Pour cette nouvelle séance, nous nous retrouvions mon maître et moi au petit matin. Je m’étais préparée comme il le désirait : nue, cuisses ouvertes pour être bien offerte à l’arrivée de Maître. En plus de cela, de mon propre chef, je décidais de mettre mes attaches poignets et chevilles pour qu’il n’ait pas à perdre de temps s’il lui venait le loisir de s’en servir. Je me baladais chez moi avec les liens, nue en l’attendant, c’était très agréable. J’eus la sensation de l’esclave 24/7 et ça m’a beaucoup plu. J’imaginais un instant quelle pourrait être ma vie dans ce cas-là, à pouvoir servir mon Maître tous les jours de l’année, du levé jusqu’au coucher.

Lorsque je quittais ma petite rêverie, je préparais mon cul également. En y mettant un plug, tout simplement. Mon plug queue de renarde que je n’avais pas utilisé depuis des années d’ailleurs. D’autant plus que je l’apprécie tout particulièrement. Avec ce plug, j’avais envie de me dilater un peu pour pouvoir être la plus offerte et la plus dilatée possible lorsqu’il déciderait de me sodomiser. J’ai pris soin de laisser la porte ouverte pour qu’il puisse rentrer sans me faire lever.

Lorsqu’il passait la porte, je me tenais nue, à genoux, exactement comme il le désirait, les yeux rivés sur le sol.

Lorsqu’il passait la porte, je me tenais nue, à genoux, exactement comme il le désirait, les yeux rivés sur le sol. Je restais muette, jusqu’à ce qu’il s’accroupisse à mon niveau et prenne mon visage entre ses mains pour me saluer, les yeux dans les yeux. Nous nous embrassions amoureusement et avec tendresse. Il retira ensuite sa veste tout en me couvrant de compliments en faisant le tour de moi-même. Il s’accroupit devant moi une nouvelle fois, me regarda de haut en bas en me demandant sérieusement « c’est à qui tout ça ? » Je lui répondis fièrement « c’est à vous. Tout est à vous, mon corps, mon cœur, ma psyché ». Il me décrocha une gifle majestueuse : « Vous qui ? » « À Vous » Cette gifle m’aura sorti tout droit de ma léthargie longue de presque trois ans. Ma joue me brûlait aussitôt et j’y mis l’une de mes mains pour apaiser, dans un geste réflexe. Il me prit par les cheveux fermement et tira ma tête en arrière. « Vous qui ? Petite pétasse » et m’en claquait une seconde encore plus forte. L’instinct de chatte sauvage en moi se mis en colère et je sortit les griffes. Mes yeux devinrent noirs, très durs et je finis par lâcher… « Vous, Papang, Monsieur, qu’importe ! »

Mon Maître était désarçonné, j’ai senti aussitôt que j’avais réussi à sabrer l’autorité qu’il tentait d’avoir sur moi et je m’en voulu au moins autant que lui pour cet affront…

Mon Maître était désarçonné, j’ai senti aussitôt que j’avais réussi à sabrer l’autorité qu’il tentait d’avoir sur moi et je m’en voulu au moins autant que lui pour cet affront… Je pris conscience avec lui que tout est à construire et reconstruire, apprendre et réapprendre.

Nous avons décidé sans même dire un mot de passer à autre chose. Il caressa mon corps et savourait visuellement le petit spectacle que je lui offrais là. Le moindre de mes mouvements faisait tinter mes liens, ce qui produisait une jolie sonorité à mes oreilles… C’était agréable. Nous étions prêts à débuter la séance… Il m’a fait mettre à genoux, le cul bien tendu.

Il m’a fait mettre à genoux, le cul bien tendu. Sur la table basse du salon, j’avais pris soin de déposer quelques objets de torture, martinet, pince, roulette, paddle, etc. Il jeta son dévolu sur le martinet en premier lieu, le prit entre ses mains et le fit claquer gentiment sur mes fesses pour débuter. Il est très progressiste et je dois reconnaître que c’est en cela que j’aime ses séances sado-maso, c’est l’attitude parfaite pour me conduire vers l’extase. Puis, il s’y entreprit de plus en plus fort et de plus en plus rapidement. Mes petits gémissements de chienne et mes oscillations l’excitaient davantage.

J’étais de plus en plus excitée et je commençais à lui réclamer, toute effrontée que j’étais ce jour-là, de me prendre dans un flot constant de petites suppliques à peine murmurés entre deux soupirs.

J’étais de plus en plus excitée et je commençais à lui réclamer, toute effrontée que j’étais ce jour-là, de me prendre dans un flot constant de petites suppliques à peine murmurés entre deux soupirs. Je voulais qu’il me pénètre pour qu’il puisse ressentir toute l’excitation qui montait en moi et pour venir ainsi apaiser mon mal grandissant. J’étais brûlante chaude et excitée. J’attendais impatiemment la suite tout en ne souhaitant que jamais les coups ne cessent. Il prit ensuite le flogger pour une douleur plus vive et plus tranchante (car les lanières de celui-ci sont fines et beaucoup plus rigides.)

Le temps passait sans jamais que mon désir ne s’échappe un instant. Je finis par le supplier de me baiser. J’avais tellement envie qu’il me pénètre de toutes ses forces. Il finit par accéder à ma demande quand j’entendis au loin sa ceinture se défaire et le bouton de son jean se dégrafer. À genoux derrière moi, il passa d’abord quelques doigts sur ma chatte sans manquer bien évidemment de remarquer mon état d’excitation extrême. J’étais trempé à un point qu’il ne connaissait pas encore jusque-là. Après cela, il me saillit comme une bonne petite chienne jusqu’à me remplir de foutre J’aime tant ça ! Nous mélangeons nos fluides à merveille lui et moi, j’aime cette idée-là de nos deux corps qui fusionnent.

Papang se releva pour aller s’installer sur notre canapé tandis que je me remettais quant à moi sur les genoux devant lui. Je l’arrêtais délicatement d’une main à sa cuisse pour me retrouver nez à nez avec sa queue.

Permettez, Monsieur, que je vous nettoie soigneusement… ?

Lui répondis-je enjouée avant de prendre sa queue à pleine bouche, délicatement afin de le rendre propre. Ce goût, entremêlé de cyprine et de son sperme directement goûté à son chibre n’est vraiment pas pour me déplaire. Je sentais dans le même temps son sperme chaud dégouliner de ma chatte, me fit sentir à la fois salement honteuse de ne pas réussir à tout garder proprement à l’intérieur tout en me sentant comme à chaque fois, honorée au plus haut point d’être ainsi son plus beau réceptacle à foutre. J’imaginais déjà la petite flaque de semence sur le carrelage que je me serais fait un plaisir d’aller laper ensuite. Une fois mon Maître assis, il me montra du doigt son pied droit « Regarde ce que tu as fait » En retirant mes boules de geisha qu’il lâchait sur le sol, celles-ci étaient tellement trempées qu’elles avaient mouillé son pied. Alors, j’entrepris de lécher encore, ses doigts de pieds, un à un, pour qu’il n’en reste plus rien.

Je me levais pour que, sans qu’il n’ait à me le demander, son café lui soit servi comme il l’aime.

Je me levais pour que, sans qu’il n’ait à me le demander, son café lui soit servi comme il l’aime. Je me baladais alors dans le salon toute cliquetante et pleine, le cul bien chaud et bien rouge pour lui rapporter son café.
La matinée passe et Monsieur me demande de me mettre à quatre pattes, une nouvelle fois.
Je m’exécute sans rechigner. Il me caresse d’un doigt et me lèche un peu. Je l’entends ouvrir le tube de lube tout en comprenant bien ce qu’il s’apprêtait à me faire. « Je veux honorer tous tes trous ma belle, m’y déverser à l’intérieur. Je vais bien te sodomiser cette fois, tu verras… » Il s’introduit dans mon petit trou avec délicatesse, lentement. N’étant plus trop habituée à tout ça, je me trouve aujourd’hui assez fragile et sensible de toute cette zone. Papang est parfait avec moi, précautionneux, doux et ça m’aide à me détendre. Il me prit, ainsi, de plus en plus profondément, de plus en plus vite jusqu’à la jouissance. J’aime ce genre de pénétration, être prise sans ressentir le moindre plaisir. N’être qu’un objet sexuel, un trou. Le plaisir que j’y prends est à 100 % cérébral, ce qui n’en fait pas un plaisir moindre qu’une autre pénétration plus stimulante physiquement. J’aime ainsi qu’il me prenne, qu’il me possède et qu’il puisse abuser autant qu’il le souhaite de mon cul, autant qu’il en tirerait du plaisir.

Il se donna ensuite le mot de la fin pour cette délicieuse matinée tous les deux en prenant ma tête entre ses deux mains pour venir me chuchoter ceci « Clarisse, je t’aime, tu m’appartiens. J’aime ainsi jouir de toi et surtout en toi. C’est une façon pour moi de te remplir de tout mon amour.» J’ai trouvé cette phrase d’un romantisme absolu et j’étais très fière, comme toujours, d’appartenir à cet homme.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *