Séance mise au poing
Notre mercredi de séance s’annonce, une journée qui allait être totalement dédiée à mon Maître. Nous allions nous retrouver lui et moi autour de nombreuses réjouissances sexuelles.
Naturellement et comme à chaque fois, j’allais en prendre pour mon grade et j’avais hâte ! Je suis toujours surexcitée à l’idée de le rencontrer, et même si je le vois très fréquemment, c’est toujours un grand événement pour moi. La soumise que je suis se réjouissait de le voir une nouvelle fois. Plus que jamais j’avais envie de me mettre à ses pieds, me soumettre à lui, etc. Etre à sa disposition, donner le meilleur de moi même pour passer un excellent moment tous les deux, comme à chaque fois que l’on se voit. Je voulais qu’il me maltraite, qu’il me punisse, mais surtout qu’il soit là, avec moi, au dessus de moi, qu’il me domine encore et encore. Qu’il continue à me faire vibrer chaque jour de ma vie. Même si tout ça me travaillait beaucoup, je sais ce que je veux et ce à quoi je tiens plus que tout au monde à ce jour : LUI. Pour ma peine ou pour le plaisir, je me soumettais une nouvelle fois à mon Maître pour le satisfaire. Je comptais bien me faire docile, réceptive et en tirer tout le plaisir possible !
Je voulais être punie ce jour là et je tirais tout de même une satisfaction incroyable que de savoir que j’allais souffrir de douleur quoi qu’il arrive. Parce que je connais mon Maître: tout ça n’est qu’un jeu entre nous lorsqu’il est question de punition. Je tiens tout de même à le redire, je suis assez docile et mes erreurs ne sont souvent que des prétextes à la punition-plaisir. Je ne crois pas que je nourrisse aujourd’hui ni le courage, ni l’envie de faire quoi que se soit qui puisse réellement nuire à notre relation, faire de vraies “bêtises”. Dès lors, la punition est récompense, c’est toute l’ambivalence de nos plaisirs sexuels. Mon Maître sait se faire respecter et me punir réellement lorsqu’il le faut : privation d’orgasme, douleur, frustration. Pour ne pas altérer son statut dominant au pouvoir absolu, il est parfois bon de me montrer de temps en temps que tout ce qu’il me fait n’est pas là rien que pour mon petit plaisir personnel, qu’il peux tout à fait réellement me punir, dans le sens le plus strict du concept.
Pour la toute première fois, découvrez mon article en format audio ! Car il est toujours plus facile de se laisser séduire par une belle voix féminine pour certains, voici de quoi contenter tout le monde. Laissez vous donc transporter par la voix d’Eva Adams, Auteure de romans BDSM que je vous invite à découvrir –> ici.
Excellente écoute 😉
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Tout commence par un joli mail très excitant… En temps normal, c’est moi qui organise et scénarise les prémices de nos rencontres. Il me laisse cette petite liberté pour donner un peu le ton de nos séances, il sait que j’aime faire ça et que je le fait très bien également, c’est quelque chose qui lui plait beaucoup je crois. Cette fois, mon Maître serait le chef d’orchestre, et j’aime beaucoup cette petite initiative. Tout ce qui lui donne du pouvoir sur moi, ses directives, ses petites choses qu’il m’impose renforce notre lien, et se sont des attitudes qui charme la soumise que je suis.
Salut Sale Petite Pute,
Demain, je te veux en tailleur, des bas et une culotte blanche.
Pas de top sous la veste, tes seins doivent être accessible facilement.
Juste le haut fermé d’un bouton.
Talons haut.
A 9h00, tu feras de la place dans ton salon, tu rangeras les différents accessoires sur la petite table à droite, contre le mur. N’oublie rien !
Tu poseras devant toi, par terre, un jouet que tu voudrais me voir utiliser. Je m’en réserve le droit ou pas.
Puis tu mettras du riz sur le carrelage et tu te mettras à genoux dessus. Face à ta porte d’entrée que tu auras laissée entrouverte au préalable.
Tu auras le visage baissé, cagoulé mais non masqué.
Bien sûr, rouge à lèvres chatoyant.
Mains dans le dos, jambes écartés cela va de soi…
Et tu m’attends. Tu ne dois pas bouger de cette position jusqu’à ce que je t’en libère…
J attends que tu respectes ces directives à la lettre, faute de quoi…… Mieux vaut pas y penser, tu vas respecter ces ordres, tu n’es pas folle !
Mr.
Je me poste donc comme il le désire, religieusement. Je suis pimpante et habillée comme il le voulait : une petite culotte blanche, des bas, une jupe crayon et une petite veste fermée d’un seul bouton sur mon corps nu. A neuf heures tapantes, je dépose deux poignées généreuses de grains de riz par terre, et je m’y installe. Je l’attends sagement et je croise les doigts pour que personne d’autre que lui ne passe sur mon pallier… Ma porte est entre-ouverte et je fixe les grains devant moi. Ils s’enfoncent dans mes genoux et j’ai très rapidement mal… J’attends sagement sans bouger, je n’ai pas envie de le décevoir, je m’attends à ce qu’il arrive d’une minute à l’autre. Je n’ai pas l’heure mais je sens bien que les minutes passent longuement, je me repère aux musiques qui passent sur ma playlist et je crois que cela fait déjà environs trente minutes que je suis là…
J’entends enfin des pas monter les escaliers, j’espère qu’il s’agît de lui… Ma porte grince un peu, elle s’entrouvre, je tremble… Ses pas sereins s’approchent de moi, délicatement je sens qu’il se déplace pour m’observer, je suis déjà toute excitée.
Il s’empare de ma mâchoire fermement et me relève la tête. Tout à coup je me retrouve les yeux dans les yeux avec lui…
-” J’avais dit sur le carrelage !”
Euh…
-” Ah bon…? ”
-“Oh toi ! Tu va prendre cher, je te préviens, je ne vais pas laisser passer…”
Effectivement, j’ai voulu jouer sur les mots, je me suis installée sur le tapis… Mais sa réaction m’excite passablement, j’aime trop ça ! Très probablement s’agissait-il d’un acte manqué… Sauf qu’à vouloir faire la maline, je comprends que j’ai plus malin en face de moi, je vais être réellement punie pour cet écart et ça m’apprendra !
Je reste là alors que mon Maître me manipule. J’avais pris soin comme il m’en avait fait la demande de poser devant moi un jouet que je voulais essayer, j’ai donc sorti quelque chose que je venais d’acheter tout spécialement la veille : des “pompes aspirantes”, je ne saurais pas nommer ça différemment. J’y avais déjà eu droit lors de notre séance au donjon, et j’avais trouvé ça vraiment très bien. Mon Maître s’approprie les deux objets et me les fixe sur les seins. Selon la façon dont ces jouets sont installés ils peuvent me faire vraiment beaucoup d’effet. Monsieur me claque les seins et les tortures un peu, ceux-ci ne tardent pas à rougir fortement. Les deux genoux toujours au même endroit, il m’installe à quatre pattes. Il écarte délicatement ma petite culotte blanche pour découvrir mes orifices offerts.
Sans attendre, il m’installe mon plug le Grand Khan et s’amuse à stimuler mon corps de ses mains agiles. Puis, il s’assied sur mon canapé, il peut donc profiter de son spectacle en me claquant un peu tandis que je souffre toujours désagréablement des genoux. Cela ne m’excite en rien… Je constate un moment que nous approchons dix heures, et je commence à regretter sérieusement ma bêtise… J’espère ne pas l’avoir déçu, c’est tout ce qui m’importe pour l’heure, et c’est ce qui me fait supporter ma peine physique, je ne céderais pas pour qu’il soit fier de moi.
Alors que le Grand Khan est toujours en place, mon Maître me gode avec un calibre très imposant. Je suis aussitôt prise d’une douleur sans pareille. Monsieur sent mon état limite et décide de me donner ma petite clochette entre les mains (celle que je dois laisser tomber si cela deviendrai trop dur à supporter pour moi.) Rien que cette attention de mon Maître me met le feu, je comprends alors que je ne suis pas au bout de mes peines ! Et pour cause, il me pilonne sans relâche avec le godemiché et je cède très vite. C’est de la torture, j’ai envie de gesticuler mais mes genoux me supplient de ne surtout pas le faire. Je serre les dents et grimace à chacun de mes mouvements.
Ce n’est que beaucoup plus tard que mon Maître décide de mettre fin à mes peines : il libère chacun de mes trous et me relève. Une fois debout, mes jambes tremblent comme des feuilles au vent, elles ne me tiennent pas. Perchée sur mes talons hauts c’est encore plus instable pour moi, il faut que je bouge. Je propose alors un café à mon Maître, ce qu’il accepte volontiers. Je le sers avec gentillesse et nous discutons un moment.
Rapidement nous reprenons la séance. Monsieur se lève et face à moi je le regarde retirer ça ceinture. Il sourit largement et je lui renvoie un regard d’enfant gâtée. Nous y sommes, ça y est ! J’ai les yeux qui brillent ! Depuis si longtemps que nous en parlions, nous n’avions encore pas eu occasion d’introduire la ceinture dans nos jeux. Ceinture qu’il avait achetée de mémoire après notre première rencontre suite à une discussion que nous avions eu lui témoignant mon désir pour celle-ci. Effectivement, j’aime me faire travailler à la ceinture. C’est pour moi un objet de fantasme au départ, une histoire qui à commencé avec mon tout premier Maître il y à de cela quelques années lorsque pour la toute première fois dans ma vie, je recevais des coups de ceinture sur le cul. A cet instant j’avais été à la fois surprise de tout ce qu’une ceinture pouvait me procurer comme sensations et de la voir portée au quotidien sur mon Maître me plaisait beaucoup. Je mordillais mes lèvres lorsque je laissais vagabonder mes idées à tout ce que cette ceinture pourrait faire à mes fesses, c’était incroyablement excitant !
Je m’installe dans une position propice. Mon cul est tendu, ma tête basse. J’aime ce moment presque protocolaire, lorsque mon Maître relève ma jupe doucement et me caresse avec délicatesse. Je le regarde enrouler la lamelle de cuir autour de sa main avant de me mettre à fixer droit devant moi. J’inspire une grande bouffée d’air et j’attends. La ceinture claque un grand coup sans prévenir, mon Maître attaque tout de suite avec sa force maximal, il ne me ménage vraiment pas aujourd’hui. Mon souffle se coupe et j’emmagasine la douleur qui irradie. Les coups suivants s’abattent sur moi les uns après les autres, la séance s’intensifie. Mon cul devient brûlant et lorsque mon Maître me branle j’ai aussitôt envie de jouir. Je le supplie déjà pour décharger, ce qu’il me refuse sans grand étonnement.
Après ce moment très intense, Monsieur s’accorde à me donner accès à son sexe. Je lui offre un verre de whisky et je m’installe donc à genou devant lui. Je le déshabille avec douceur et entreprends son membre bandé entre mes mains, je le suce avec ferveur et détermination. J’aime son sexe, je le trouve beau, et le voir perler ainsi, gonflé au bord de l’implosion rien que de m’avoir fouetté grassement le cul me plaît beaucoup ! Je le maintiens au bord de la jouissance pour faire durer le plaisir à sa demande. Chemin faisant, après un moment à le sucer, Monsieur m’installe confortablement sur le canapé, il m’y caresse un instant mon petit bouton avant de sortir son arme de jouissance massive : le love wand ! Je me retiens encore de jouir avec une difficulté de plus en plus grande… Ses doigts me pénètrent, un puis deux, puis trois, avant d’y mettre toute la main ! Etant encore trop étroite le geste n’aura été que de très courte durée mais il y à tout de même de l’avancement et cela me réjouis assez, je suis très enthousiaste !
Notre séance se termine avec beaucoup d’orgasmes, car après avoir soulagé mon Maître de tout le foutre qu’il m’incombait de lui extraire, il me laissa encore une fois jouir et jouir encore sous ses doigts. Un moment de perdition une nouvelle fois qui m’aura réjoui à la hauteur de toutes mes espérances de chienne soumise.