Séance fantasmorgasmique
Le voilà enfin ! Reçu quelques jours auparavant, je faisais l’acquisition d’un nouveau Sextoy, dont je rêvais depuis longtemps : le Satisfyer ! Un objet fabuleux dont j’entendais parler vraiment partout ! Pour être franche, j’avais surtout entendue parler du Womanizer sur les blogs de Charlie (Charlie-liveShow.com) et de (69desirs.fr) mais je n’avais absolument pas le budget pour m’offrir ce petit bijou, cette nouveauté exceptionnelle et révolutionnaire dans le monde du Sextoy, jusqu’au jour où la concurrence s’est manifesté en créant le Satisfyer, que j’ai réussi à me procurer pour une petite cinquantaine d’euros. J’étais ravie. Les jours suivant la réception du colis étaient d’une torture psychologique sans nom. Je demandais pudiquement à mon Maitre si j’avais au moins le droit de l’ouvrir et de le toucher, c’était presque religieux.
Tout en retenue je découvrais le bel objet, très prometteur, je m’imaginais l’instant ou ce petit bout de silicone irait rencontrer mon clito pour lui faire découvrir monts et merveilles. J’étais impatiente au plus haut point.
Lorsque mon Maître me rendit visite quelques jours plus tard, c’est sans attendre que je lui présenta mon tout nouveau jouet.
Installée confortablement dans mon canapé, après quelques amusements tous les deux, je propose à mon Maître de s’essayer au Satisfyer. L’œil vif et brillant, tout sourire et pleine d’enthousiasme je fixe mon Maître attentivement découvrir l’objet. Lorsqu’il le pose religieusement sur mon clito, nos regards ne se quittent pas, je suis curieuse et super excitée, j’ai hâte de voir comment ce super Sextoy va agir sur moi.
Les aspirations commencent et très étrangement je ne ressens rien, tout du moins les quelques première secondes. Puis, sans l’expliquer, je laisse monter en moi une sensation très étrange, c’est très progressif, et l’orgasme se dessine déjà. Nous augmentons les vitesses pour plus de puissance et je jouis vraiment très rapidement. L’orgasme est particulier, comme le sont ceux que je ressens dans mon sommeil. C’est bien moins brutal, mais pourtant très efficace, et ce principe d’aspiration ne traumatise absolument pas mon petit bouton puisqu’il n’entre finalement même pas en contact avec celui-ci. J’ai l’impression que je pourrais jouir ainsi un bon millier de fois l’une derrière l’autre sans m’essouffler, d’ailleurs nous l’aurons prouvé quelques jours plus tard : avec le Satisfyer j’ai réussi à jouir 25 fois en l’espace de 12h tout au plus. Naturellement, la performance est sans intérêt, mais le plaisir lui était incroyable ! J’ai tout de même fini par ne plus réussi à jouir, ni même ressentir de plaisir à la fin, mon corps a lui aussi ses propres limites auxquelles je ne peux vraiment rien faire.
Après un premier temps de découverte et d’appropriation, Monsieur m’installe à quatre patte, accoudée au dossier du canapé, j’attends mon châtiment. Je minaudais quelques minutes plus tôt en témoignant à Monsieur ma tristesse de n’avoir pas souffert un peu en ce jour. C’est une petite provocation qui n’aura pas échappée à mon Maître, qui par compassion peut être s’est enquéri d’un fouet que je lui ai offert il y a de cela quelques temps, aux lanières très longues de cuir tressé noir.
Je reçois les coups, mon Maître est loin, ce qui lui permet de longs gestes et un claquement des plus forts, même si ce fouet ne m’endolorit pas autant qu’un bon coup de cravache ou de badine. La douleur reste tout de même sérieuse. Ce qui me fais le plus mal c’est lorsque mon Maître décide de s’entreprendre à mes seins. Je minaude beaucoup et j’ai bien du mal à supporter au départ, je courbe l’échine et me replie sur moi-même, mais par la force des choses, je fini par tendre la poitrine à mon Maître : j’ai très envie de jouir à nouveau !
Je goute ensuite à ses fessées et au paddle, avant de terminer par une vague d’orgasmes encore avec le Satisfyer. Je me réjouis de ce moment passé en compagnie de Monsieur, avec beaucoup de simplicité, de plaisirs et d’orgasmes.