Séance récréative
Après avoir contenu très difficilement un appétit des plus féroce ces derniers temps, nous nous retrouvions mon Maître et moi pour une séance “maison” bien comme on aime, dans la douleur et dans le plaisir, bien sado-maso. Personnellement, j’étais très impatiente et excitée à l’idée de rencontrer mon Maître ce jour, je m’étais préparée soigneusement et portait ma plus belle culotte, celle spéciale ” bonne année”. Je désirais plus que tout me faire maltraiter, me faire souffrir et par dessus tout en jouir copieusement. Excellent menu du jour… J’étais prête à déguster ! Me voila sagement installée, prête à recevoir mon Maître. De hauts talons, de jolis bas et des seins dégagés, une attitude calme et sage dans une posture d’attente.
Mon Maître, comme à son habitude, fait une entrée sereine et délicate. Il me salue et prend soin de réveiller ma poitrine avec quelques pincements et claques, bref, la mis en bouche habituelle, Monsieur donne l’ambiance direct, ce qui n’est pas pour me déplaire.
J’avais très envie d’avoir mal, et lui éprouvait ce désir qui nous uni si bien de me faire souffrir généreusement. Je m’installe face au lit et j’y pose les mains, de façon à offrir mon cul à sa main de Maître, c’est-à-dire parfaitement dégagé, le dos bien cambré. Mon Maître me fesse d’abord avec énergie et je me sens tout à coup soulagée, comme s’il répondais à un manque manifeste, cela m’a fait un bien fou, j’en aurais consommé pendant des heures. J’avais apporté un petit fouet, sans réelle valeur qualitative, mais néanmoins, cela reste un vecteur de douleur tout de même, et personnellement je n’en réclamais pas d’avantage. Surtout que dans les mains de mon Maître, je crois que même le plus inoffensif des objets pourrait devenir véritable outil de torture. Je me fait donc fouetter sans attendre, et j’adore ça !
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Je renoue douloureusement avec mon ami le grand khan : mon plug. Et la sensation qui m’est pourtant si familière me semble si lointaine tout à coup, j’ai la sensation que je n’y ai pas goûté depuis des années lumière. De le sentir me remplir le cul comme il le fait si bien me réjouis grandement ! Je suis alors ravie de pouvoir enfin m’en accommoder joliment le cul comme cela ne m’était pas arrivé depuis trop longtemps à mon goût. Pourtant je l’ai mise seule il y à peu, mais la sensation est tout à fait différente quand je le met en compagnie de mon Maître et surtout parce que c’est lui qui s’y emploi. La douceur ne fait décidément pas partie de ses attributs, car malgré mes suppliques craintives, Monsieur s’applique pour les deux ou trois premiers centimètres, mais rapidement je sens mon sphincter avaler douloureusement le plug en sa partie la plus large. J’ai le souffle coupé quelques secondes, mais je reprends assez vite mon calme.
Je m’allonge ensuite, et Monsieur me demande de garder les yeux fermés, il ne souhaite pas que je vois ce qu’il me réserve pour les minutes à venir. Je suis surexcitée et je sais d’avance que quoi qu’il me fasse, je vais adorer !
Ces quelques photos sont en mode “galerie”, vous pouvez donc les consulter en cliquant dessus (comme les photos habituelles) pour mieux les voir, et vous pourrez aussi les commenter une à une. N’hésitez pas !
Il sait comme j’ai apprécié mon tout dernier exercice avec les pinces, et aujourd’hui à mon plus grand plaisir, j’allais en refaire l’expérience en sa compagnie. Mes seins en garde encore le souvenir mordant à l’heure ou je suis en train de vous l’écrire. Monsieur m’installe chacune des pinces sur les seins, qu’il positionne les unes à côté des autres. Je prends conscience que j’ai beaucoup évolué quant à la sensibilité de mes mamelons par rapport aux pinces, car dans non débuts, c’était l’activité que je craignais le plus, étant très sensible en cette zone, qui n’en deviens pas plus érogène dans ces moments là, en tout cas pas autant que mon cul. Je dois maintenant être parée d’une douzaine de pinces, que je n’ai toujours pas le droit de voir. Je me retrouve seule avec moi même, les yeux fermés, je me fait ultra-réceptive. Je suis attentive à tous les faits et gestes de mon Maître, et je le sens silencieusement continuer son travail sadique sur mon corps. Il passe ses doigts entre les pinces pour les secouer un peu, il les retirent pour les remettre au même endroit quelques secondes plus tard.
Par inadvertance, mon Maître à enregistré sans le vouloir une petite partie de notre séance, j’ai décidé de la partager avec vous.
Il s’entreprend dans le même temps à sollicité mon petit bouton, déjà bien sous pression. Au bout de quelques temps, je commence à supplier, et je tâche de me maintenir sous ses menaces très sérieuse. Je sens bien qu’il me torture toujours de cette façon, il sait bien que sous ses doigts j’ai beaucoup de peine à résister, et ses menaces ne sont formulés que parce qu’il sait qu’il pourra les mettre à exécution sachant que je vais inévitablement jouir. C’est très pervers de sa part tout ça, mais j’aime tellement ça, j’en suis forcément la complice. Des menaces qui se transforme en promesse, comment voulez-vous que je les respectes ?
Puis, lorsqu’il accède à ma demande, lorsque je m’apprête à jouir, je sens soudain ce fameux pincement qui m’aura tant plus il y à de ça quelques jours, celui de la pince à linge se resserré sur mon clito, décidément j’adore ça ! Disons que lorsque je jouis, c’est une façon de relancer au dernier moment la force de frappe de celui ci, c’est vraiment délicieux à vivre, je pourrais, je le ferais à chaque fois à l’avenir (ça me rappelle vaguement le genre de sensation dans mon adolescence, dans mes premiers pas vers le masochisme, comme je l’explique –> ici) Par contre il nous reste à revoir son retrait, car lorsque mon Maître m’a retiré la pince une fois ma jouissance passée, j’ai eu la sensation très franche de me le faire arraché; en quelque sorte le revers de la médaille. Cependant, cela ne m’a pas empêché de jouir encore quelques fois après cela. La langue magique de Monsieur à réussi à me faire oublier ce petit moment troublant (ohlala, parce que si vous saviez, ce que j’y tiens à mon clito ! Le maltraité oui, le perdre non)
Monsieur je suis prête aujourd’hui à tout vous donner… absolument tout… Mon vice, ma nymphomanie…
Ne me restait plus qu’a remercier mon Maître comme il se doit pour ce moment délicieux qu’il venait de me faire vivre. D’une langue experte, je me suis employée à libérer son corps de toutes ses tensions sexuelles. Je me suis faite au plus proche de ses plaisirs, c’est-à-dire avec grand soin, et beaucoup de savoir-faire. Des doigts délicats, une langue aguerrie, une bouche performante et une gorge endurante, mon Maître est bien modeste, il n’en réclamerais pas plus que ça parfois ! 😉