l’interview de mon Maître – Seconde Partie
Voici la suite et fin de l’interview que j’ai réalisé dernièrement avec mon Maître. Se sont vos questions que je lui ai posé.
Pour lire la partie 1 c’est ici !
1.Parlez nous de Clarisse, qui est cette femme pour vous ?
On a déjà répondu à cette question.
2.Etes-vous plus dominant que Sadique ?
J’en ai aucune idée, ce qu’il y a c’est que je ne raisonne pas de cette façon. Je fais ce qu’il me fait envie, je fais des choses quand elles me plaisent. Je les fais aussi par rapport à la personne avec qui je le fais. Il se trouve que toi, Clarisse, tu es très maso. Comme ce sont une partie des jeux que j’aime beaucoup : nous y jouons beaucoup. Tu pourrais être beaucoup moins maso et nous jouerions de manière totalement différente. En fait, je ne peux pas dire car mon plaisir c’est la domination, mais les jeux de souffrances font partie de ma domination. Ce que je veux dire c’est que ce que j’aime dans les jeux d’impact notamment, c’est l’effort que tu fais. C’est la dimension psychologique.
Du fait que j’arrive à t’infliger des choses qui moi me semblent douloureuses et que toi tu encaisses et qui se transforme en plaisir. Pour moi je pense que c’est lié à la manière que j’ai de le faire, à l’influence que j’ai sur toi.
Complètement.
Donc finalement, ce plaisir là il n’est pas physique il est psychologique. Mais c’est parce qu’il est très physique qu’il en devient très psychologique. Tu fais l’effort pour moi mais tu ne le fais pas en souffrant, tu le fais en y prenant du plaisir, tout d’un coup ça prend une toute autre dimension. En fait pour répondre très clairement à la question mon vrai plaisir c’est la domination.
3.Qu’est-ce qui vous attire dans le BDSM ?
Tout et rien à la fois. C’est-à-dire que je ne réfléchis pas en termes de BDSM, mais en termes de plaisir, de façon très personnelle. C’est mon plaisir avant toute chose. Le tiens fait partie de mon plaisir Clarisse, tu le sais. Il y a beaucoup de choses qui fonctionnent à deux entre nous. Je ne cherche pas à être BDSM, quand j’ai envie d’être vanille je suis vanille et quand j’ai envie d’être violent je suis violent. Simplement je libère mon instinct, je libère mes pulsions sur toi et comme toi ça t’éclate c’est parfait !
Parfois, je ne suis pas sûr d’être SM en réalité… Parfois je me pose un peu la question, plutôt non je ne me la pose pas car réellement je m’en fiche.
Peut-être aussi parce que le BDSM ne correspond pas toujours à ce que vous vous représentez de notre relation ?
Exactement. Parce que tout cela est très codé, et que les codes ne m’intéressent absolument pas. Quand je vois effectivement certaines choses très codées dans le domaine, moi ça ne m’intéresse absolument pas. Ce que je recherche, ce qui me plait c’est la relation avec toi avant toute chose. Nous pourrions être ailleurs dans un contexte complètement différent si cette relation en question était aussi chaude et aussi fusionnelle sur le plan sexuel et sur tant d’autres sujets entre nous, cela me satisferait exactement de la même manière.
Il se trouve qu’on se croise dans un contexte BDSM au départ, c’est que ça me plaisait et à toi aussi. C’est tout de même plus facile de libérer sa sexualité quand tu commences par une relation purement SM et sexuelle et qu’ensuite tu décides conjointement de rester dans ce genre de relation.
Je crois que ce qui m’attire réellement c’est le psychologique : sur toi sur moi, sur ton corps et par ton esprit. La force de notre histoire je sais qu’elle est là, et c’est ce qui m’a toujours attiré, bien avant qu’il ne soit question de sexe.
4.Que représente le BDSM pour vous ?
Le BDSM c’est une source de plaisir. C’est la partie sexuelle de ma vie. Je ne peux pas dire que je sois BDSM au quotidien. Parfois je croise des gens au quotidien qui me disent qu’ils ressentent le dominant en moi et ça c’est toujours un peu troublant.
C’est en vous.
C’est une histoire de personnalité et de nature humaine. L’image du BDSM est quelque chose qui me stimule, qui m’excite.
5.Comment avez-vous découvert que vous étiez dominant ?
J’y suis venu complètement par hasard. Je n’ai jamais vraiment réfléchi à ce qu’étais ma sexualité. Je l’ai toujours vécu sans y penser. J’ai rencontré cette femme qui était mon amante et qui m’a demandé de la soumettre. Nous étions dans une relation torride, hyper sexuée. C’était au travail alors nous baisions tous les jours, plusieurs fois par jours même. Avec elle ce n’est pas venu tout de suite, ça a peut être mis un an avant qu’elle me demande à ce que je la soumette. Personnellement je ne m’étais jamais posé la question, je n’étais même pas « documenté » si l’on peut dire, je n’ai même pas regardé sur internet je ne savais même pas ce que le BDSM voulait dire. Ce qui m’a tout de suite plu c’était l’idée de pouvoir faire ce que je voulais. D’un jour à l’autre il y avait cette femme que j’adorais baiser, que je baisais tous les jours, c’était comme une drogue et voilà qu’elle me proposait de devenir mon jouet, de faire tout ce que je voulais d’elle. Un peu comme un truc de gosse, je me suis dit « wahou ! J’ai le jouet absolu ! » Je suis adulte et j’ai trouvé LE jouet. C’est cette femme, elle est à moi. J’en fais ce que je veux, je la baise quand je veux, si j’ai envie si je n’ai pas envie, si je suis sympa ou alors sévère. Je l’attache et je la claque ou alors je l’embrasse amoureusement. En plus elle était à ma disposition toute la journée. Je passais tout de même huit ou dix heures par jours avec elle.
Bien évidemment tout ça m’a plu. [Rire] J’y ai pris goût.
6.Et vôtre toute première fois en la matière ?
La toute première fois ? C’est difficile à dire. J’ai cependant un souvenir très précis. Il faut tout de même dire qu’avant de la soumettre vraiment j’avais une sexualité avec elle qui était tout de même… comment dire ; très virile. J’ai toujours été un dominant de manière implicite. Donc la première fois, nous étions sur un open-space : il y avait 35 personnes dans une grande pièce, elle c’était le chef, moi j’étais son adjoint. Elle avait un petit bureau au fond de la pièce dans lequel nous baisions régulièrement. On fermait les stores puisque tout était vitré.
Oh ! [J’ai l’air surprise presque choquée]
Oui, j’avais juste à ouvrir la porte sur l’open-space avec 30 personnes là au milieu. C’était quand même complètement le délire. Et un beau jour elle était debout à son bureau et je lui ai baissé le pantalon. Je lui baisse, elle n’avait pas de culotte bien évidemment et puis je lui dis « Tu ne bouges pas » et puis je suis parti. Ensuite j’ai ouvert la porte, n’importe lequel des 35 personne de la pièce aurait très bien pu passer là, tourner la tête et voir dans la pièce. La voir là, debout, dans l’entrebâillement dans le porte, le pantalon baissé et la chatte à l’aire. J’ai fermé, je suis parti, et je suis revenu peut-être 3 ou 4 heures plus tard. Mais moi je l’avais oublié.
Oh !! Et ? [Je suis en haleine, je découvre cette histoire avec grand étonnement voir un peu de fascination. Je me ravie de savoir que je ne bosse pas avec mon Maître à cet instant bien précis.]
Et quatre heures plus tard elle était toujours là le pantalon baissé. Quand j’ai vu ça j’ai trouvé cette situation des plus excitante ! A cet instant, j’ai eu comme un flash avant de me dire « Putain mais c’est incroyable ce truc là ! »
Trois heures, vraiment ?
Oui au moins. Parce que je suis reparti bossé tu vois, ça m’était complètement sorti de la tête. J’ai été prendre un café, je me suis réinstallé à mon bureau et la journée est passé.
Et bien je ne savais pas ça ! [Avec l’air taquin]
Et bien non Mademoiselle, tu ne sais pas tout. [Le sourire aux lèvres]
Petit à petit je me suis penché sur le sujet, la relation Maître soumise et nous avons avancé. Tout à coup je me suis dit « Puisque désormais c’est moi le patron alors je décide de tout. » Alors que cela faisait un an que nous baisions dans un rapport tout à fait égal cette fois je prenais totalement le contrôle. Je me suis rendu compte qu’il y avait beaucoup de choses dans le BDSM qui me plaisaient et qui me correspondaient. Je regardais des choses et je voyais certaines pratiques qui ne m’intéressent absolument pas, d’autres que je trouve fascinantes mais que j’ai du mal à pratiquer et puis il y a des choses vraiment trop dégueulasses qui m’excitent, des choses que je ne pratiquerai pas, en tout cas pas avec toi [Gros éclat de rire]
Pourquoi ? Parce que je vaux mieux que ça ?
Oui c’est ça. [Reprend son sérieux] Parce que je suis trop respectueux de toi. Ou parce que je sais que cela ne te plairait pas, tout simplement.
[Petit silence] Mais bon, je sais que ce qui ne te plait pas aujourd’hui pourrait te plaire demain… [Me dit-il d’un air assurément confiant]
Ah bon, alors c’est bien, vous n’avez qu’à partir de ce principe là. [D’un air assez revêche et assuré]
[Nous échangeons un regard d’opposition, bien que nous ayons le sourire en coin tous les deux.]
7.Comment vivez-vous votre rôle de Maître ?
Alors. [Retrousse ses manches] Je le vis à la fois simplement et à la fois de manière plus complexe. Etre Maître ou être dominant c’est tout de même une responsabilité. C’est comme ça que je vois les choses. J’ai différents niveaux de priorité par rapport à ça : le premier étant la sécurité bien évidemment. Quand je parle de sécurité, je ne parle pas de sécurité physique, je parle de la sécurité par rapport à la vie personnelle. C’est-à-dire ne pas mélanger la femme que tu es avec Clarisse, un aspect fondamental dans ta sécurité. C’est le premier de mes rôles depuis que tu as toute cette exposition médiatique.
Ensuite, à partir du moment où je décide et que tu décides de m’appartenir, je te considère un peu comme un enfant pour moi. Il y à cette notion de mettre des limites, prendre soin, anticiper les besoins, satisfaire, protéger la jeune femme que tu es : vulnérable et innocente.
Il faut que je fasse attention à toi et j’aime ça. Ce que j’aime aussi c’est cet aspect éducatif, c’est de te permettre de t’épanouir, de jouir de plus en plus, de prendre davantage de plaisir. De voir aussi qu’entre nous à chaque fois qu’on se rencontres c’est quasiment plus fort à chaque fois, que nous arrivons à varier et toujours voir de nouvelles choses. C’est lié à mon ouverture d’esprit, à mon attitude de Maître, à ton ouverture d’esprit et à ton attitude de soumise à toi également.
Voilà, c’est beaucoup de responsabilité, beaucoup d’investissement bien évidemment. Parce que si tu fais ça en dilettante, ça ne peut pas fonctionner, déjà rien que pour être respectueux.
En faisant attention à l’autre : c’est ainsi que j’agis parce que bien évidemment dans certains moments tu n’as quand même plus la même notion de la maîtrise. Car la douleur physique, comme avec vous Melle Clarisse, ce n’est pas trop ce qui pose difficulté. Puisque je sais bien que même si tout à coup je craquais et que vraiment j’y allais très fort, dans l’ensemble c’est une partie du plaisir que tu prends parce que je sais que tu as une vraie capacité à recevoir ces actes-là, le vrai risque est ailleurs : sur ton mental. Le risque c’est de tellement abîmer la personne, tellement lui faire mal que tu vas la faire rompre tellement loin que tu la brise vraiment et surtout pour toujours. Et tu vois, ça, cela ne m’intéresse absolument pas. Par exemple, lorsque tu es attachée avec quelque chose dans la bouche sans moyen de parler, il faut cette fois être hyper attentif. Parce que privée de la parole et du mouvement, il ne me reste plus grand-chose pour déceler ce qui ne va pas ou ce qui va sur toi. Surtout que toi tu es tout de même toujours en train d’essayer de bien faire, alors je crois que même si tu rompais tu serais déjà bien au-delà de tes propres limites…
Je vous le dirais, car je n’ai pas peur et j’ai complètement confiance…
Oui mais encore te faudrait-il pouvoir parler.
[Rire] Oui c’est vrai, techniquement parlant il faut pouvoir parler… Mais j’ai ma clochette !
Voilà, on a des systèmes de sécurité alternatifs. Car c’est la norme absolue quoi qu’il en soit : la sécurité.
8.Quel est votre investissement par rapport au blog ?
[Rire de nous deux après un blanc d’une seconde]
Ça c’est un peu une question piège parce que je dois bien avouer que je ne fais strictement rien sur le blog.
Vous lisez les articles et vous m’encouragez.
Oui, bien-sûr ! On est d’accord : je lis tes articles et je t’encourage. Tout du moins, ce n’est même pas que je t’encourage ; je te donne mon avis, c’est tout. Mon investissement sur le blog il est dans la vie : je te conseille sur certaines choses, je te dis « ça tu fais, ça tu ne fais pas. » Maintenant tu publies tes articles alors que je ne les ai pas lus. Je les découvre avec tes lecteurs et c’est toujours un plaisir.
9.Etes-vous présent sur les réseaux sociaux ?
Pas trop.
Mais vous avez un Facebook ?
Hm, j’ai un Facebook. Je n’ai pas 40 amis je ne crois pas, surtout si j’enlève les quelques profils que j’ai dû accepter mais qui sont soit de faux profils soit des comptes inactifs. Je discute avec très peu de monde. Je garde un œil en fait, j’essaie d’y aller tous les jours, de garder un peu un œil mais vraiment c’est sans plus.
10.Et du coup, peut-on vous contacter ou vous écrire ?
Oui, on peut. Oui oui, bien sûr.
[Grand silence… ]
Surtout les femmes à forte poitrine.
[Rire] Je l’attendais celle-là !
Plus sérieusement, je ne suis pas très sollicité. Je suppose que parce que je ne suis pas très présent, je ne suis pas très sollicité.
Vous avez un peu cette image du Maître dans l’ombre, moi, j’aime beaucoup ça…
Oui sur internet. Parce qu’il faut tout de même faire la part des choses. Il faut bien différencier internet du reste. Je veux dire par là que j’ai une image de Maître pour tes lecteurs et puis je suis un Maître pour toi, mais passé tout ça je suis un homme, simplement.
11.Un jouet favori ?
Oui, la badine, très clairement. Des tuteurs en bambou que j’achète en grande surface 3 euros les 10. Bref, trois fois rien. J’adore cet outil.
Parce que c’est ce qui fait le plus mal ?
Je ne crois pas non. Dans ma manière de dominer, et ça tu pourras me le confirmer où pas, je suis assez direct sur les choses, j’aime y aller franchement et si je n’y vais pas je n’y vais pas mais si j’y vais j’y vais. J’aime utiliser ça parce que c’est assez douloureux. Quitte à tester la personne, quitte à voir jusqu’où la soumise peut te donner son corps et donc son esprit, si c’est pour la caresser avec une plume, ça va, tout le monde sait le faire. C’est vrai alors que tout d’un coup, attaquer avec la badine te permet d’aller assez loin, tu peux vraiment tester le potentiel de la relation. Et puis on y prend goût à la badine non ? N’est-ce pas Mademoiselle ?
Je vous avouerai que je préfère la cravache.
Ah oui ? Pourquoi ?
Parce qu’il y a plus de zone d’impact, alors que la badine c’est ultra pénétrant, je savoure moins lorsque c’est aussi rapide, franc. La badine m’apporte une douleur que m’emmagasine beaucoup moins bien en potentiel d’excitation. Tandis que la cravache c’est diffus, je ressens les choses différemment, plus longuement.
Ce qu’il faudrait, c’est faire un peu des deux en même temps, ça se serait parfait pour moi.
Très bien, alors on essaiera.
Cool ! Quand ? Ce soir ? [Sourire jusqu’aux oreilles]
Je vous rappelle qu’on a une interview à terminer Mademoiselle.
12.Comment prenez-vous soin de votre soumise, quelles sont ses limites ?
J’en prends soins en faisant attention à elle d’une première part. Je pense être un Maître assez présent, on se parle presque tous les jours.
Vous pensez que communiquer c’est primordial ?
Oui, fondamental. Le fait de te connaître parfaitement, mais aussi m’intéresser à toi. Il y a aussi qu’aujourd’hui j’ai envie de te parler autant que je te baiser. Car il faut bien avouer qu’on parle beaucoup plus qu’on ne baise. [Rire] C’est aussi par ma manière de dominer, ma manière d’être que je prends soin de toi, et au quotidien de te faire plaisir. Ton plaisir fait partie de mon plaisir. C’est important aussi que je te donne de la force. On parlait tout à l’heure de la responsabilité du Maître et ça se rejoint. Bon je vais peut-être paraître un peu vieillot mais pour moi c’est bien, que c’est beau de trouver une jeune femme comme toi ; en détresse et de venir la sauver.
[Je pique un fard]
Attendez parce que là les questions les plus chaudes arrivent…
[Petit vide]
Je ne sais même pas si je vous les pose…
[Monsieur rit] Oh mais si ! [D’un air rassurant]
13.Que pensez-vous du contrat ?
Le contrat… Ce n’est pas très important en fait. C’était très amusant à faire, très agréable de le remplir, de le concevoir avec toi. Le contrat représente le début de notre relation. On l’a mis au point très rapidement. J’ai bien aimé le faire, c’était très excitant, très cul. Tu as fait un listing qui m’a fait rire : je le lisais en me disant « Super, ça je peux faire, et puis ça aussi, etc. »
C’est quelque chose que l’on partage, c’est bien pour commencer je trouve.
C’est ça, et puis ça cadre la relation parce que ça permet de savoir la limite, où elle se situe et de bien la délimiter. Maintenant quand je dis que je m’en fiche un peu c’est que depuis qu’on l’a fait, au bout d’un an, puis deux, il est devenu totalement obsolète.
Vous voulez dire qu’il n’y a plus de contrat entre nous ?
Non ce n’est pas qu’il n’y a plus de contrat, c’est que le contrat il est là, toujours, sauf qu’il n’est pas écrit. Enfin, le contrat original, papier, signé on va s’apercevoir que sur plein de trucs nous n’y sommes plus du tout. Par exemple souviens toi, on a dit pas de photo.
[Nous éclatons de rire]
[Puis, Monsieur s’approche du téléphone qui enregistre l’interview audio pour s’adresser à vous lecteurs] Oui voilà, Mesdames, Messieurs, sur le contrat on a dit « Pas de photos »
[Nous oublions l’interview et je m’installe à genou, devant mon Maître qui est installé dans son fauteuil]
Vous savez quoi, vous voulez que je l’édite le contrat. Ça vous plairait que j’en fasse un nouveau ?
Oui tu peux.
D’accord, alors vous allez voir ça va aller très vite.
14.Partagez-vous des moments autre que BDSM et sexuels avec Clarisse ?
Aucun [Droit dans les yeux, d’un air malin et mystérieux, comprenez donc ce que vous voudrez chers lecteurs]
15.Et… Un petit mot sur les sentiments ?
Aucun.
[Silence…]
Tu veux un petit mot sur les sentiments ?
[Je lui chuchote] Vous n’êtes pas obligé…
Non je ne suis pas obligé…
Je ne dirais rien car ça ce sont des choses personnelles. C’est entre nous. Il y a la partie exposée et il y a la partie non exposée. Et les sentiments sont dans la partie qui ne l’est pas. La question précédente c’était pareil.
[Je chuchote à nouveau] J’aime bien votre réponse.
…On baise maintenant ?