DONJON DONJON DONJON DONJON DONJON DONJON DONJON DONJON DONJON
En ce jour très spécial, en ce joli mardi chaud et ensoleillé, que j’avais attendu si longtemps et si impatiemment, ma tension sexuelle intérieure était à son comble ! Et pour cause, ce jour là n’était pas un jour commun à tous les autres, j’allais passer la nuit avec Monsieur et cette soirée là tout particulièrement s’annonçait des plus excitantes. Mon Maître souhaitait passer un moment spécial avant une longue période de vacances à venir, ou nous nous apprêtons à ne plus nous voir pour un certain moment qui m’apparait déjà comme une éternité. Mon Maître à fait le choix de m’amener en la demeure d’un couple SM très expérimenté qui possède chez eux un lieu ou tous les vices sont permis. Nous nous y sommes rendu pour une séance haute en émotions et en couleur, et je vous invite dans cet article à le découvrir aussi fidèlement que je l’ai découvert moi même et de vous en retransmettre chaque émotions ressenties. Suivez-moi Messieurs dames, c’est par ici…
La porte s’ouvre et me voici plongée dans un monde qui m’est à la fois très familier mais aussi assez impressionnant car il me fait prendre conscience qu’en vérité je n’y connais rien, et que tout m’est encore à apprivoiser, à découvrir, et cette idée me plait incroyablement ! Pour vous présenter le domaine, il s’agît d’un petit donjon, une pièce aménagée SM avec toute une panoplie de matériel mis à disposition, qui se loue à la séance, proche de Metz. Des propriétaires très sympathiques et amicaux, qui aiment partager leurs passion pour le SM avec qui se montre désireux de les connaître plus. A cet instant je suis on ne peu plus excitée et je plie intérieurement rien qu’a l’idée que mon Maître m’introduise un seul de ses doigts, j’imagine l’acte salvateur et qu’il pourrait à lui seul déclencher un orgasme chez moi, comme s’il devenait le point final pour mettre fin à toute cette excitation grandissante, comme si j’étais à un doigt de jouir sans même n’avoir poser un seul doigt sur mon bouton.
Je me suis retrouvée totalement ébahie, toute entourée de rouge et de noir, de cuir, de bois, d’attaches et de lanières de toutes sortes. Je me promène lentement, et découvre avec curiosité, je remarque des objets que je reconnais bien, d’autres pas, certains m’excitent, d’autres me font assez peur et d’autre même m’angoisse avec excitation je dois dire. Je sais pertinemment que je n’aurais pas droit à tout ce soir, mais j’essaie de deviner ce sur quoi mon Maître jettera son dévolu et ce qu’il souhaitera me faire connaître et goûter… L’ambiance tamisé électrisait toutes les terminaisons nerveuses de mon épiderme et j’alimentais dans mon esprit malsain tout un ora sexuel, un désir décuplé que je n’hésitais pas à partager d’un simple regard profond avec mon Maître, la lèvre pincée et le sourire perveti telle une outrageuse soumise provocatrice ! Nous y somme enfin ! J’ai l’œil brillant, et la curiosité d’une gamine impatiente autour de la multitude de cravaches à disposition, de paddles et de fouets.
Ensuite, les choses sérieuses ont commencé
Une fois installés, après avoir positionné mon collier de chienne à mon cou mon. “Bonsoir ma chienne” me dit-il avant de me prendre par le menton à pleine main et de m’embrasser fermement : il marque là le début de notre séance et me voila ravie ! Monsieur me fait me mettre nue face à lui, de garder mes talons et de rester silencieuse. Je reste donc calme et positionne mes mains dans le dos et j’attends. Mon Maître prend des baguettes chinoises qu’il resserre l’une à l’autre sur mes tétons avec des élastiques. Mes mamelons étaient alors pincés mais la douleur était légère, ce n’est que lorsque Monsieur les faisaient bouger en tordant brusquement mes tétons qu’ils m’arrachaient des gémissements de douleurs. Au bout de quelques dizaines de minutes, mes tétons commençaient à noircir et la douleur s’intensifiait. Pendant ce temps Monsieur c’était employé à me mettre des attaches aux poignets et aux mains, avant de m’installer sur la croix de saint andré fixée a l’un des murs de la pièce. Une grande et imposante croix, d’un bois foncé et très épais avec en chaque bout un anneau de fer. Pour cette fois j’allais être immobilisée totalement, et cela avait le dont de m’exciter terriblement, mais aussi de m’apeurer ne sachant pas ce que mon Maître allait bien pouvoir faire de moi, étant devenue désormais totalement impuissante, vulnérable et fragile. Une fois bien attachée, nue, mes mains bien en l’air pour dégager ma poitrine, et mes jambes bien écartées pour un total accès à mon sexe, mon Maître allait pouvoir me travailler avec grand plaisir.
Monsieur me passe ensuite une cagoule sur la tête; me voilà alors attachée et humiliée, dépersonnalisée, ou presque. La cagoule que je porte me cache les yeux, seule une ouverture à ma bouche me permet de respirer et donne également l’accès à mon Maître de cet orifice. Puis plus un bruit, le calme plat, je n’entends rien, je fait des tonnes de suppositions et me perds dans mon imaginaire, jusqu’au moment ou sans prévenir, je sens ses deux mains empoigner avec force mes bras, ce qui me fait pousser un soupir de stupéfaction. Aussitôt je souris nerveusement, je suis à la fois vulnérable et offerte, stressée, mais à la fois si excitée et enjouée, je fait une confiance totale et absolue en cet homme, et n’ai aucune crainte de m’en remettre corps et âme à lui, cette situation ne m’angoisse pas au point d’en parasiter tout le plaisir, et donc tous ses sentiments entremêlé à cet instant décuple mon appétit sexuel, je me sens alors si enjouée et perverse, que s’en est divinement palpitant. Il m’embrasse à nouveau avec fermeté, puis il passe ses doigts dans ma bouche, les introduits au plus profond de ma gorge, un, puis deux, et je me laisse envahir sans broncher. J’aime ce contact physique brutal avec lui, ce sont des choses qui m’excite assez, de me faire ainsi brutaliser la bouche.
Ensuite je sens qu’il se retire, je ne l’entends plus, et comme je ne vois rien je n’ai aucune idée d’où il se trouve par rapport à moi, je reste en questionnement une nouvelle fois. J’entends la porte s’ouvrir, et je devine qu’il quitte la pièce. Me voilà paniquée, seule… Que va-t-il faire ? Je patiente, plusieurs longues minutes, je ne saurais pas dire exactement combien de temps j’ai attendu n’ayant aucune notion du temps. Ce que je sais c’est que mes pieds me torturaient, ainsi écartés et haut perchés sur les talons, sans pouvoir bouger pour les soulager, mais je prends mon mal en patience, et j’attends… Mes pensées me torture, que fait-il, ou est-il ? Quand et comment reviendra-t’il? Cette fois là où je suis, dans l’état ou je suis je ne peu plus rien faire et j’aurai beau crier autant que je voudrais que rien ne se passerait. Et de toutes les façons, je me connais assez bien pour pouvoir dire que j’ai intérieurement la ressource et le tempérament pour rester ainsi des heures durant sans jamais bouger. Par fierté avant tout…
ma fierté, une part de moi qui m’est parfois très honorable mais aussi peut me rendre très insolente. C’est l’un des plus gros rempart dans mon ascension vers le
lâcher prise.
Lorsque mon Maitre est revenu, je n’ai entendu que la porte, puis quelques poignée de secondes ont passé, j’entendais alors le bruit léger de quelques lamelles de cuir s’entrechoquer entre elles, celui-ci m’apparu assez sensuel et très doux. J’en avait l’eau à la bouche… Après l’avoir fait fendre l’air violement quelques fois, j’ai commencer à recevoir de grands coups de martinet sur le corps, sur le ventre, sur les jambes et le sexe, et ensuite sur les seins, toujours endoloris et pincés par les baguettes. L’un des coup m’a sorti les yeux de leurs orbites et je n’ai pu retenir un cri de douleur sortir de ma bouche, mon corps à flanché, mais même cette réaction spontanée de repli sur soit et de relâchement m’était impossible et je sentais alors mes bras se tendre, les poignets bien accrochés à la croix. J’ai alors imploré mon Maître de me retirer les baguettes, ce qui lorsqu’il le fit, m’arrachait encore des cris de douleur, j’ai bien cru ce soir là que mon sein droit était perdu à jamais, rien que sa langue délicatement posé sur le bout de mon sein me brulait au plus profond de ma chair, cette sensation me crispait le visage mais dans l’ambivalence de mes attirances, de mes pulsions et des plaisirs sexuels physiologique que je ressens, cela m’excitais beaucoup ! J’ai mis quelques minutes à reprendre mon souffle, avant que Monsieur me torture de nouveau sous une pluie de coups de martinet. Par instant, je sentais les coups assez fort impacter avec force toutes les lamelles en même temps sur des points d’impact très précis, et parfois, plus légèrement cette fois, je sentais les lamelles une à une dispersées sur mon corps s’étaler, notamment sur ma poitrine.
.
Après cela, mon Maître me détachait, et me retirait la cagoule, j’étais de nouveau libre et profitais de cet instant pour encourager mes seins à reprendre des couleurs, et faire partir les fourmis qui commençaient à sévèrement envahir mes extrémités. Je pouvais de nouveau plonger mes yeux dans ceux de mon Maître et constater également à quel point tout cela pouvait l’exciter lui aussi. Le voir bander après de tels moments me donne toujours un peu plus l’envie de me surpasser pour lui et contribue en majeure partie à mon plaisir personnel, profondément soumise, et totalement dépendante du plaisir de Monsieur, c’est là ma nature de soumise.
.
Nous avons délicatement terminé ce moment lorsque je me suis mis à ses genoux, les mains dans le dos comme à mon habitude, alors qu’il se tenait assis sur un très joli trône de cuir rouge et noir. Ensuite, après l’avoir déshabiller avec toute la douceur nécessaire habituelle, je me suis reposée comme j’aime beaucoup le faire; la joue tout contre son sexe, avant de l’
entreprendre avec ma bouche pour un moment comme je les adore également, concentrée à le sucer avec enthousiasme et appétit, au plus profond de ma gorge.
.
Ces premiers moment passés en sa compagnie au sein de ce donjon sont parfait, j’ai déjà assez souffert mais je m’attends à recevoir bien plus cette nuit là et cela fait quelques jour maintenant que je me travail un mental de fer pour mieux appréhender cette nuit de plaisirs, afin de repousser mes limites et découvrir de nouvelles parcelles de ma part d’ombre. La nuit va être longue et elle est bien loin de s’arrêter là…
.