Notre premier donjon

Comme vous le savez déjà, Papang est un néophyte dans le monde du BDSM. Cependant, mon désir, le sien de découvrir ce monde est sans limite. Ainsi, nous avançons tout doucement lui et moi, main dans la main. Pour se faire, récemment, nous avons eu l’occasion de rendre visite à Agnès, et, par la même occasion, visiter son donjon.


Même si Papang n’a pas encore toutes les références en matière de BDSM, ce n’est pas vraiment pas ce qui compte pour moi. Ce qui m’importe, c’est la façon qu’il a de me traiter, même si nous n’y mettons aucune étiquette. Cela m’importe peu. Se définir n’a pas de sens, mais sa façon d’être, celle qui me rend heureuse et épanouie, prime, évidemment.


Aujourd’hui, je voulais lui faire la surprise, l’accompagner dans un lieu qui lui permettrait d’avoir de nouvelles cartes en mains. Projeter sur ma toile tous les coups de pinceau qu’il voudrait s’y voir dessiner. Et je dois dire « après coupS » que ce premier pas lui à ouvert un appétit féroce ! J’en suis si heureuse, car j’avais, je dois dire, une certaine appréhension.


Je l’attendais toute prête à notre appartement, une jupe cuir très saillante assortie à une chemise blanche, tout ça sous un long trench noir effet wetlook que j’adore. J’enfilais mes talons vernis et pris le volant pour amener Papang à ma petite « surprise ».

Nous roulons un moment, il fait beau, chaud pour un mois de février, c’est tellement agréable. Je sais qu’aujourd’hui sera une journée merveilleuse.

Nous arrivons chez Agnès et je lui présente mon Maître, je suis heureuse d’être ici avec lui. Nous faisons un tour du propriétaire et buvons un café. Puis, nous profitons du donjon un moment. Je me mets à ses genoux avant toute chose, frotte mon visage tout contre lui comme une petite chatte. Je sens son érection sur ma joue et j’apprécie énormément, comme toujours.


Maître sort les liens tous neufs que nous avons reçu de Cuir et chuchotements et il me les met aux poignets pour m’attacher à la croix de Saint-André. Je lui suis désormais totalement offerte physiquement et toute excitée à l’idée de me faire maltraiter. Papang use du martinet sur mon cul, me le fait bien rougir. Je sens la cyprine qui coule entre mes cuisses, c’est bon signe. Tout ce que j’espère secrètement en reposant ma tête sur la croix, le souffle haletant, c’est qu’il prend le même plaisir que j’ai à me laisser ainsi frapper.


Une chose est sûre, il bande toujours aussi fort. Lorsqu’il me détache de la croix, c’est pour aller m’installer sur le banc à fessée juste à côté. Ici, il me prendra sans ménagement et marquer sa soumise de la plus belle des façons selon moi, en la remplissant de tout son foutre…

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