Petite catin

Sous l’objectif d’Alain Massa

C’est les bras chargés que je retrouve Monsieur dans le métro parisien. Cet après-midi, nous devons retrouver un lecteur et ensuite, aller faire faire ensemble ma cagoule latex sur-mesure.

Monsieur et moi retournons à ma voiture pour y déposer mes sacs de vêtements et de chaussures dont j’ai eu besoin pour un shooting photo le matin même.

À voir la moue de Monsieur, je comprends que l’idée de le balader dans les transports en commun pour mes sacs ne le ravi pas des masses. Je suis toute désolée et mon sourire implore le pardon. J’aurais bien d’autres façons de me faire pardonner plus tard de toute façon, j’en suis certaine !

Nous arrivons au parking, descendons par l’ascenseur. J’arrive à la voiture, l’ouvre et dépose mes sacs dans le coffre. Le parking sous terrain est calme, nous sommes seuls.

Surprise, Monsieur me rejoins, très sérieux.

« À genoux »

J’ai tout de suite compris lorsque je l’ai vu arriver à moi. Mon sang n’a fait qu’un tour. Moi qui, très pudique, n’ai jamais fait quoi que ce soit dans ce genre de lieu public. Je me liquéfie instantanément !

Il descend sa braguette et sans attendre, me présente sa queue déjà bien dressée… Je me mets tout de suite à genoux, sans réfléchir, et l’avale sur toute sa longueur. Je ressens l’excitation extrême que peux m’apporte la peur d’être ainsi découverte ! Je suce avec passion et gourmandise.

Nous sommes sur l’emplacement de parking juste à côté de l’ascenseur, n’importe qui peut sortir et à n’importe quel moment.

« Debout »

Comme une machine auto-programmée, je me lève. Il me retourne, lève ma jupe sauvagement et me penche en avant.

La tête dans le coffre ouvert, je le sens s’enfoncer en moi d’une traite. Quelle sensation intense.

Il me pilonne copieusement. Encore et encore. Je gémis quelques fois, mais je comprends bien qu’il faut que je devienne plus silencieuse. Ma main sur la bouche, je me force au silence.

« On ne t’a jamais baisé comme ça, hein salope ?»

Non effectivement. Plus ses mots sont crus, plus ses coups de reins sont durs et plus j’aime !

Le bruit de ses mains qui claquent sur mon cul résonne dans tout le parking. Résolument, Monsieur n’a peur de rien et tout cela m’excite particulièrement.

Je me prends même à rêver que des hommes nous surprennent et viennent nous mater.

L’excitation monte très vite et le désir de jouir m’envahit rapidement. Je réclame à Monsieur qu’il me délivre de toute cette pulsion orgasmique. Ce qu’il accepte, à mon grand soulagement.

Puis, Monsieur se retire. « Allez, rhabille-toi ! » Me lance-t-il, durement. J’ai vraiment l’air d’une pute en l’instant et j’adore ça.

Simplement, je suis frustrée…

Je me remets à genoux et le suce. J’aimerais qu’il se vide en moi et je lui en formule la demande. Quitte à servir, autant le faire jusqu’au bout, non ? J’ai envie de commencer ma journée avec lui ainsi, j’en serais très flattée.

Les yeux dans les yeux, la bouche grande ouverte et la langue bien tendue, il me remplit copieusement !

« N’avale pas, surtout n’avale pas ! »


Son attitude toujours aussi dure me rend réellement dingue. Pourquoi ne veut-il pas que j’avale ?

Il prend mon portable, active le flash et me prend en photo.

« Pour ne pas que tu l’oublies, celle-là ! Tiens ! Allez, debout ! »

Je reprends le portable qu’il me tend avant de remonter sa braguette. Pour ma part, je déguste lentement tout le sperme dans ma bouche.

Nous quittons aussitôt le parking sans s’épancher davantage sur ce que nous venons de vivre là. Comme si de rien n’était.

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