Séances de “découvertes” – Appréhender les plaisirs d’humiliations
Sorti de la douleur, Monsieur aime également m’humilier. Je ne saurais représenter toutes les occasions qu’il à eu de le faire mais je garde néanmoins pour certaines de ses situations un souvenir claire et non des moins excitants dans mon esprit. Jusqu’alors, la douleur n’était pas pour moi quelque chose de très familier, mais j’ai quand même souvenir de quelques moments fort douloureux avec des relations antérieures, mais d’humiliation jamais. Je dois même dire que je n’aimais pas vraiment ça. Mais depuis j’ai tout de même fait du chemin, j’ai compris les fondements de la soumission, et j’ai surtout appris à m’accepter. Mon statut de soumise m’oblige à subir l’humiliation, que cela me plaise ou non. En laissant mon récent Maître jouir de mon corps et de mon esprit, m’humilier à son gré, je découvris également que parfois, certaines situations rendaient mon sexe coulant et brulant de désir. Depuis que je connais Monsieur, mon corps traduit des sentiments enfouis en moi que mon conscient dissimule, et je n’ai de cesse de me surprendre à me délecter de postures dans lesquelles jamais je n’aurais pensé y trouver ne serait-ce qu’un intérêt et encore moins de l’excitation.
Des claques sur mon visage
Monsieur sait que je n’aime pas cela, mais soit, ce que je pense n’a aucune sorte d’importance dans ces moments là, et j’aime ça ! Régulièrement il me prend fermement par la mâchoire et fait rougir mes joues en me fixant droit dans les yeux. Lorsqu’il fait cela il à le regard si noir. Je pense que ça lui plait énormément, mais surtout de voir que la petite pute dont il à la pleine jouissance ne puisse pas toujours s’exciter de tout ce que lui fait son Maître le satisfait. Enfin quelque chose qui la punit… Vraiment ! Lorsqu’il me gifle, non seulement je souffre, mais je me sent si humiliée, rabaissée, rien qu’a l’écrire mes sourcils fronce. J’ai l’impression de me retrouver comme une enfant, qui à fait une bêtise impardonnable et qui à beaucoup déçu. Je ressent alors un profond sentiment de honte et de dégout de moi même. La seule consolation que je tire de ses situations, c’est le plaisir que cela procure à mon Maître. C’est une des rare chose que mon Maître m’inflige qu’il ne soit le seul à réellement savourer jusqu’alors.
Position d’infériorité, mon maître m’humilie
J’aime physiquement, dans la posture, me tenir inférieure à mon Maître, je commence vraiment à y prendre goût et m’étonne moi même. Je pourrais rester des heures durant à l’attendre en cage s’il le fallait, à quatre pattes ou encore à genou, face à lui, et me faire humilier comme bon lui semble.
Je me souviens tout particulièrement d’une situation, probablement anodine pour le public amateur, mais toute nouvelle pour moi, et assez excitante je dois dire. Lors d’une de nos séances, Monsieur se rend chez moi, je l’attends dans des vêtements adéquat, petite jupe écolière noir et veste noir très décotée laissant apparaître mon soutient gorge. Je décide de l’attendre à genou, les mains dans le dos, cuisses bien écartées. Monsieur arrive, et s’installe sans dire un mot sur mon canapé, en face de moi. J’ai la tête baissée. Je la relève un instant, ne voyant que ses pieds, je ne devinais pas ce qu’il attendait de moi. Me voyant lever la tête, Monsieur s’exclame avec énervement « non non, tu baisses la tête! » Déjà là, une agréable décharge électrique se rependait dans mon bas ventre… J’aime tant quand il me parle ainsi, cela m’excite incroyablement. Lorsque Monsieur est grave, lorsqu’il est sévère, cela me rempli d’excitation… Au bout de quelques minutes Monsieur, me demanda d’aller lui préparer un café, je m’exécutais dans la seconde, sans dire un mot, lui non plus. Son inconsidération pour moi et son égoïsme me rendait si soumise et sans valeur, sans importance, je ne saurais l’expliquer mais j’y ai pris beaucoup de plaisir, j’aime de plus en plus être déconsidérée, je le mérite, et ça me plaît. Revenant avec son café, je repris toujours sans un mot ma place à ses pieds, à genou en face de lui, silencieuse, j’écoutais le silence, je le devinais en face de moi, buvant son café comme s’il était devant le journal TV. Je compris à cet instant que je n’étais rien, un corps qui attends, un corps qui subit. Lorsque je vis bouger Monsieur, il mis son pied entre mes cuisse et du bout de sa chaussure leva ma jupe pour m’inspecter, sur le coup j’aurai aimé qu’il me branle de la sorte, mais frustration oblige je n’y aurais pas droit. Ce geste si détaché et voyeur, de ne même pas mériter un geste exécuté de ses mains, comme si j’étais la souillon à ne surtout pas toucher, que je ne méritais pas plus d’effort dans la mise en forme que cela me fit aussitôt déclencher une seconde décharge. J’étais humiliée, et satisfaite !
Gagball – me faire taire dans l’humiliation
J’ai découvert avec Monsieur ce fameux outil. Ce fut par un moment un objet de fort intérêt pour moi, j’eu longtemps envie d’y goûter un jour. Ce jour là arrivait. J’ai eu peur de baver, de m’étouffer, mais le gagball qui m’était destiné se trouvait être doté d’une boule trouée, ce qui me rassurais. Le fait que je devienne privée de parole m’a frustrée au plus haut point. J’aime beaucoup gémir et perdre la possibilité de parole était assez effrayant dans le sens que j’allais devoir lâcher prise, et prendre le risque de ne plus pouvoir dire stop si jamais cela allait trop loin. j’acceptais de perdre le contrôle un peu plus. J’étais terriblement humiliée, enfin je l’ai ressenti ainsi, mais je désirais l’être en portant cet objet, je désirais que mon Maître aime à me le voir porté. Lorsqu’il me regarda avec, m’embrassa par dessus la boule, je n’étais qu’humiliation.