La séance de Noël part I

C’est avec une joie infinie que je reprends ma plume aujourd’hui pour un nouvel article séance, et non des moindres. La séance que je m’apprête à vous narrer fut pour Papang et moi la plus intense que nous ayons pu vivre ensemble. Le temps faisant, nous avançons à grand pas ces derniers mois. Nous nous sommes retrouvés et nous avons envie d’aller au-devant de tous nos fantasmes et, pourquoi pas, se laisser surprendre et en découvrir d’autres assez fortuitement…


Nous avions prévu de passer la journée ensemble. Je l’attendais donc au petit matin avec une robe du plus bel effet, faite d’un tissu noir transparent qui n’est doublé qu’en dessous de la taille. Ma tenue laisse donc deviner aisément mes petits seins percés, très facilement accessibles grâce à un très large et plongeant col en V.


Il sonne à ma porte et je lui ouvre. Il peine à retirer sa veste, car telle une petite chienne en chaleur, je n’arrête pas de lui tourner autour en étant toute excitée, la langue tirée, bavant de toute part, si vous voyez ce que je veux dire…


Il m’a manqué, bien évidemment, comme il me manque à chaque fois. Son absence me coûte toujours énormément, mais c’est le prix à payer pour des retrouvailles toujours aussi fortes et inoubliables.


Je décide de lui offrir un café et lui projette mes attributs. Je lui montre fièrement sa propriété, mes seins en transparence, mon cul nu sous le collant fin. Il apprécie, je crois, de me savoir sans culotte et ne perd pas une occasion pour passer sa main sur mon céans et venir y frotter un peu sa queue déjà bien bandée. Je fais un tour sur moi-même sans trop le perdre du regard. Je me noie dans ses yeux brun encore et encore, ça m’enivre.


La passion l’arracha à son café et ni une ni deux, il me fit installer sur le lit, sur le dos. Une fois le collant retiré, il se mit à genoux devant moi et goûta sans retenue ma chatte humide et offerte. Sa langue sur mon bouton me bouscule à merveille, je me perds entre ses tours et détours, autres succions et baisés. J’ai déjà très envie qu’il me prenne, qu’il me possède, qu’il me remplisse.


Il m’ordonna ensuite de me mettre à quatre pattes sur le lit, et j’obéis tout de suite. Il s’entreprit de me fesser, fortement, et sans progression. Très fort, très vite, tout de suite. Mon cul brûlait en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. J’eus peu d’avoir sans doute perdu l’habitude, beaucoup de mal à tenir la posture ce qu’il me fit remarquer sèchement, ce qui n’était pas étudié pour me déplaire.


Je m’excusais aussitôt en reprenant ma place, à quatre pattes. Il caressait mes fesses brûlantes avant d’apprécier le travail qu’il avait fait dessus. Il caressa puis mordit à pleines dents chacune de mes fesses écarlates, ce qui m’arracha un cri de surprise. Il prit ensuite quelques photos avant de venir, dur comme jamais, s’empaler sur moi. Ses coups de reins tout contre mon cul brûlant me procurait une sensation comme je n’en avait pas ressenti depuis si longtemps.


J’étais tellement heureuse que Papang prenne de plus en plus de plaisir à me traiter ainsi et s’accorde à oser investir pleinement son rôle de Maître sadique avec moi.

J’ai adoré entendre ses petits râles de plaisir lorsqu’il déchargea tout son foutre en moi. Sentir le liquide chaud se déverser dans mes profondeurs. J’aime tant qu’il m’honore, me remplisse ainsi. C’est l’ultime récompense pour moi.

Après cela, nous avons regagné le salon, dans lequel nous passions le midi en tête-à-tête. Nous ouvrîmes une bouteille d’un vin que nous apprécions beaucoup lui et moi, du Coteau du Layon. Je partage avec lui la déception que je ressens à l’égard d’un couple que nous devions rencontrer l’après-midi qui nous a fait faux bond assez tardivement la veille au soir. Mais Papang, dans sa plus grande sagesse intérieure me console, il n’est absolument pas déçu et me réconforte en m’expliquant que ce n’est que partie remise, que seule ma présence lui importe vraiment. Je l’aime tant… Mon Monsieur, adorable adoré, sage et amoureux. J’ai, pour ma part, du mal de cacher ma déception, même si, sans rien dire à Papang, j’ai une très grande surprise pour lui…


Pour trinquer ensemble, il me fit d’abord mettre à ses genoux. Et, d’un doigt sur mon menton, me fixa droit dans les yeux et me dit « Tu sais, vraiment, ce qui compte, c’est toi, c’est nous, le reste n’a aucune importance. Ma belle… Je t’aime » L’émotion me gagna aussitôt et j’eus bien du mal à la refréner. Je l’aime tellement moi aussi…


Pour trinquer encore, il me fit ensuite goûter au vin directement au goulot de la bouteille d’une façon très… exotique, dirons-nous. J’ai beaucoup aimé ça. Une fois la bouteille dans ma chatte, il la secoua un moment pour que le vin s’imprègne de moi.


Puis, je reçus enfin le SMS que j’attendais en trépignant secrètement depuis des heures… J’avais peur que mon plan tombe à l’eau alors que j’avais tellement envie d’offrir ce que je réservais à Papang. L’échec n’était pas une option pour moi.

Voilà quelques semaines maintenant que je suis à la recherche d’une femme. Pour moi uniquement, avant tout. Avec l’accord de Papang, évidemment, qui, par le passé, ne m’a jamais interdit quelques rencontres saphiques. Ainsi, je rencontrais, par le plus grand des hasards, une demoiselle haute en couleur, comme je les aime. Belle et sulfureuse, gourmande, solaire et délicieuse, cette fille me fit, comme jamais, très vite tourner la tête. Son désir pour moi était tel ! Je crois pouvoir dire qu’une femme ne m’aura jamais autant désiré qu’elle. C’est quelque chose que j’ai longtemps cherché et jamais trouvé jusqu’alors, malgré bien des rencontres féminines… Je nourris aussitôt pour elle un désir irrépressible. Nous passions des soirées entières à se faire des messages, des audios, des photos en s’excitant mutuellement elle et moi jusqu’au bout de la nuit. J’avoue que de tenir le secret vis-à-vis de Papang m’a paru tellement difficile. J’avais tellement envie de lui parler d’elle d’un côté, et de l’autre, j’avais l’impression de faire des petits dans le dos de mon Maître à chaque message. Mais je savais que j’avais sa bénédiction et que c’était pour le régaler d’avantage le jour venu.


Je suis tombé sous le charme de cette femme incroyable, l’envie de goûter à ses lèvres, de la consommer et de plonger dans son regard de braise… J’avais convenu avec elle de la rencontrer d’abord seule à seule, mais compte tenu de ses obligations personnelles, nous avons dû annuler malheureusement. Moi qui voulais passer toute une nuit à ses côtés, j’étais réellement désolée. Mais, une chose en entraînant une autre, nous avons décidé de nous rencontrer ce jour, même si, pour le coup, j’étais avec mon Maître.


Elle préférait venir accompagnée, ce que j’acceptais sans soucis.


Lorsque son message arriva le jour J, lorsqu’ils étaient à quelques minutes de nous retrouver, je devais l’annoncer à Papang. J’eu quand même très peur de sa réaction, qui fût très positive. Ouf.


Il faut que je vous dise maintenant… J’ai une surprise pour vous, Monsieur. Voilà, d’ici quelques minutes, une femme et son amant vont nous rejoindre. Comme nous étions finalement seuls suite aux désistements de dernière minutes de nos complices du jour, je me suis permise de prévoir un plan B.


Celui-ci même qui sonnait à l’instant à la porte…

 

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