Petite visite matinale – soumise offerte et à disposition

En ce bon matin de farniente, sous la couette, bien au chaud au fond de mon lit, j’étais à des kilomètres de me douter ce qu’il allait m’arriver dans les heures à venir… Un cambriolage ? un kidnapping ? Une version viol brutal à peine extirpée du sommeil, une sodomie surprise, un réveil douloureux ? J’allais vite le découvrir… Voici le récit de cette matinée délicieusement surprenante !

Sûrement en train de rêvasser, comme cela m’arrive de plus en plus, à l’image de moi qui me jette aux pieds de mon Maître comme pour aller y reprendre mon souffle, je me retourne dans mon lit, seule, et me rendors un instant… Je somnole, ma réalité se mêle à mes rêves et je bascule à moitié dans le sommeil.

201Soudain, j’entends du bruit… Je ne suis pas affolée, je dois surement penser qu’il s’âgit du fruit de mon imagination, j’ai tellement envie de le voir que je fantasme en l’imaginant monter les escaliers qui mènent à ma chambre, et j’entends ses pas… Mais à cet instant, ma réalité dépasse mon rêve ! Encore à moitié endormie je me rends compte tout doucement qu’en faite mon Maître est bien là… Il me suffit de deux secondes de prise de conscience pour aller à sa rencontre. Nous nous saluons chaleureusement. Je suis embuée, je suis si contente, mais encore trop molle pour manifester un entrain proportionnelle à la grandeur de ma surprise. Depuis que mon Maître possède les clefs de mon appartement que je lui avais offert lors de cette séance au donjon, c’est la première fois qu’il me rend une visite surprise.

Mon Maître m’installe dans mon lit, je me laisse guider et je tente de me réveiller le plus vite possible. Mon Maître prend directement la cravache et la badine alors que cela fait à peine quelques minutes qu’il est dans ma chambre : cela suffit en une fraction de seconde à me réveiller parfaitement ! Je suis en stress, je crois que je vais prendre cher, je le sens ! Et psychologiquement, je ne suis absolument pas prète, ni préparée, j’ai du mal à abandonner mon confort doux et chaleureux de la minute précédente. Mon Maître à le sourire aux lèvres, il est content de son petit plan et il savoure mon état changeant avec délectation. Il ressent chez moi le désir, le fait que je sois très heureuse de le retrouver, mais aussi le stress et la crainte, la surprise par dessus tout ! Il cherche peut être à me faire perdre pieds, et moi je suis déjà toute chose.

“Installe toi !” Et je m’exécute : je me mets à 4 pattes et je cambre les fesses, je serre les dents en attendant le premier coup; cela se passe bien et je reçoit très bien la douleur, j’aime ce qu’il me fait. J’absorbe deux puis trois, quatre coups, après ensuite je perds la concentration nécessaire pour les compter… Je gesticule, j’ai du mal à tenir la position. Mon Maître s’impatiente : il me fait mettre sur le dos et je m’imagine alors qu’il va me battre le sexe, pas du tout. Il s’entreprend à relever mes jambes en hauteur, me fait joindre les mains et me demande de tenir la position. Puis s’en retourne à notre meuble de matériel, pour en revenir avec du gros scotch, et dans ma tête je jubile : j’adore me faire contraindre !

14412950118401Monsieur me bloque dans cette position; me lie les deux mains entre elles ce qui me rend totalement immobile désormais, et me mets dans une telle position qui me permet de lui offrir tous mes trous et mes fesses bien dégagées à battre sans retenue. Puis il me scotch également la bouche, je panique, mais j’aime tellement ça ! Je sens que je suis sexuellement à point et j’attends ses sévices. Je suis totalement offerte et sans aucunes défenses possible.

Entre cravache et badine je reçoit les coups, qui s’abattent violement les uns après les autres. Je n’aurais jamais entendu autant la badine frapper l’air de la sorte, j’étais impressionnée et abasourdie simplement à entendre ce bruit bien caractéristique de la badine, celui dont mon Maître s’amusait déjà tellement lors de notre toute première rencontre et qui me rendais déjà toute chose ! J’ai la sensation que les coups que j’ai reçu étaient d’une violence nouvelle, sans aucune retenue pour certains et c’est un grand pas que de sentir mon Maître pour la toute première fois y aller sans la moindre modération.

Ensuite mon Maître s’arrête, puis il profite de mon sexe, ce petit abricot exposé, resserré joliment entre mes deux cuisse pour y glisser quelques doigts, et c’est délicieux à recevoir. J’ai le sexe coulant et chaud. Il profite également de mon cul dégagé pour y introduire mon plug le grand Khan que je reçoit d’un seul coup assez facilement et sans douleur. C’est d’ailleurs à cet instant que je comprends que mon excitation est si forte que mon anus lui aussi suinte de plaisir.

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Je ressens les coups suivants avec beaucoup de dureté et je suis borderline… Mon Maître m’incite verbalement et je me lâche alors, ma tension disparaît dans un flot de larmes et l’orgasme approche… Et très rapidement je m’évapore dans une jouissance délivrante et je décharge tant du corps que de l’esprit.

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Je souhaite dormir encore… mais ce n’est pas tout à fait le programme qu’il m’est réservé… Nous sortons de la chambre et je m’affaire à préparer un café à mon Maître, confortablement installé dans mon canapé.  Mais je me balade nue et aussitôt assise à ses côtés, il me retourne et comme dans un élan de pulsion animal, et il m’entreprend et me sodomise violement. Je ressens sur l’instant une certaine humiliation, une déconsidération, j’ai particulièrement mal sans vraiment comprendre tandis que je me fait piloner sans ménagement, je pleure discrètement et je sens que mon Maître n’en à que faire de ma douleur alors j’interiorise beaucoup. C’est une sensation nouvelle et qui me plaît. Être malmenée et déconsidérée me plaît, mais je n’ai jamais vraiment vécu cela, et j’ai parfois trop regretté certains états d’âme que pouvais ressentir mes anciennes fréquentations par désir de trop vouloir bien faire, ils en venaient à faire tout mal sans le vouloir, car ils n’avaient simplement rien compris à mon fonctionnement… Je crois que j’ai besoin d’être brossée dans le sens inverse du poil 😉

Alors je n’en tire aucun plaisir physique, mais mon Maître si et je m’en ravie, de plus l’émotion que je vie à ce moment me conforte dans ma position, je ne suis qu’une sale pute offerte, un vulgaire objet sexuel et j’aime ça ! Je suis juste un trou qui n’a rien à ressentir, simplement recevoir sans traduire, et surtout ne pas l’ouvrir, ne pas déranger Monsieur, ne pas y prendre de plaisir, point. J’aime ce genre de sensation, sans réellement aimer, pour faire court il faudrait dire que “jaime ne pas aimer” en réalité c’est beaucoup plus subtil, c’est un plaisir très cérébral et assez complexe. Au bout d’un moment mon Maître s’arrête, se retire et déverse son foutre à la naissance de la comissure de mes fesses dans un silence étrange.

Aussitôt je me nettoie et la minute suivante nous reprenons une discussion tous les deux sans rapport, en finissant notre café. Et ainsi s’achève cette matinée riche en émotions…

 

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