Entrée en matière : cravache, gros scotch et cire chaude

En dehors de nos séances régulières et de courtes durée, il s’agissait là de la seconde grande séance que j’avais avec mon Maître, non pas des moins excitantes, j’allais goûter cette soirée là, toute entière, à des plaisirs encore plus puissants, toujours dans l’inconnu bien sûr, ce qui donnait plu value à mon excitation intérieure ; j’étais conditionnée pour arriver en ébullition. Pour l’occasion je me présentait à mon Maître en jupe courte et haut blanc très classe mais surtout très transparent,  et bien sûr sans culotte…

Je me présentais à lui très simplement, et le laissais prendre possession des « lieux » sans broncher. Monsieur inspecte, déshabille, touche, et caresse d’une lenteur incroyable (quand c’est « vanille » c’est toujours un peu l’impression que ça me donne, et bon, l’impatience aussi rallonge considérablement le temps, c’est de la folie douce, mais c’est en un sens une partie de ma souffrance, et j’apprécie attendre, faire monter un peu la pression, même si je ne me l’avoue pas vraiment, et supplier mon Maître lorsque je suis trop en souffrance), puis il empoigne fermement, serre, claque, tire, pince et mord. Je me laisse faire, comme si Monsieur préparait mon vagin, comme s’il connaissait la recette et la mettait en pratique pour que mon con dégoulinant puisse l’accueillir en bon et due forme.

Travail de fond – agir sur mon psychologique

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Il y à quelque chose se soir là qui me met la pression… Je ne saurais vous dire si mon Maître l’avait calculé ou non mais cela m’avait mis dans un tel état de stress, de peur. Le matériel que je du lui rapporté cette nuit là était simple : badine bien entendu, bougies, pinces, rosebud mais surtout un petit rouleau de cordage très fin qu’il avait acheté très récemment. Monsieur m’avait déjà expliqué ce qu’il comptait faire avec lorsqu’il l’a apporté chez moi la première fois, et jusqu’alors nous ne l’avions pas utilisé. Me demander de lui rapporter eu le don de me paniquer intérieurement. L’inconnu pour quelqu’un comme moi qui a tendance à tout rationnaliser dans mon quotidien et tout contrôler, me déstabilise toujours, ce qui n’est absolument pas un mal en soit puisque c’est en partie ce qui me pousse dans la soumission, perdre le contrôle, m’en remettre à quelqu’un d’autre, me lâcher au sens le plus pure et vrai, me donner sans limite ! Ce qui inclus tout naturellement la peur, celle de l’inconnu, de la douleur, celle d’explorer mes limites, mes capacités surtout, peur de décevoir on Maître également… Voilà donc j’ai écouté à la lettre Monsieur en lui rapportant tout ce dont il avait besoin. Et pour vous révéler la raison de mon inquiétude, en déballant mes « cadeaux » la fois dernière, et en découvrant la petite corde, je n’ai pas naturellement saisi l’utilité de l’objet, incrédule que j’étais, je trouvais cela bien trop fin pour en faire des attaches pour mes poignets ou pour du bondage. C’est en questionnant curieusement Monsieur qu’il m’expliqua que cette petite corde reliée à toutes les pinces qu’il mettrai sur mes seins afin de les détacher pourrai servir… Mon sang n’a fait qu’un tour, j’ai les seins d’une sensibilité telle que jusqu’alors c’était l’idée la plus torturée que mon Maître ai pu faire germer dans ma tête.

Ne plus répondre de moi

Une fois allongée sur le lit, Monsieur sorti du gros scotch, quelque chose de simple trouvé dans un magasin de bricolage. J’aime beaucoup le scotch pour l’aspect rudimentaire et multifonction qu’il possède. Il peut permettre à la fois de me faire taire, de m’attacher, et avec des possibilités infinies de positions contraignantes et me faire mal aussi. J’aime à ce qu’il soit arraché violement et lorsqu’il tâche ma peau de petits bleus ça et là. Je ne considère absolument pas qu’il faille débourser des quantités d’argent incroyable pour faire du bon travail, même si dans la plupart des cas c’est nécessaire malheureusement, le gros scotch quant à lui est parfait ! Mon Maître m’a alors attaché les poignets aux chevilles. Mes jambes bien écartées (car je les resserrent encore assez souvent instinctivement, ce qui a le dont d’énerver passablement Monsieur) et mains bloquées pour ne pas avoir de gestes défenseur pour ma poitrine, car sans le savoir à cet instant, j’allais prendre assez cher… Mon angoisse n’est apparue vraiment que lorsqu’il me mis le gagball, j’étais alors ouverte et offerte à tous le vices possible de Monsieur, sans aucune façon de pouvoir m’exprimer de n’importe quelle sorte. Enfin si, seulement exprimer la douleur. C’étais là pour moi un grand pas de plus vers ma soumission, la première fois que je me donnais autant, et me montrais si offerte et si fragile.

Goutte à goutte douloureux

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Certaines (rares heureusement) gouttes ont laissé des brulures visibles, même plusieurs semaines plus tard.

 Mon Maître se retira, et revins avec une bougie, longue fine (je souris car on pourrait dire un cierge, quoi de plus insolite dans cette situation que de sourire intérieurement en me disant, « tiens, mon Maître brûle un cierge pour moi » Quelle hérétique ! Et le mot est faible. Quel esprit perverti ! Et je m’étonne moi même de voir à quel point) et c’est à cet instant que ma peine commença… Je sentais les gouttes brûlantes tomber sur mon corps, partout, en pluie fine, sans savoir ou la prochaine allait tomber. Je me tordais de douleur, et gémissais au travers du gagball. J’étais surprise de voir à quel point cela me faisais mal, je n’aurais pas pensé autant. Ce n’est que par la suite que j’ai su que pour un effet plus douloureux, la bougie n’était qu’a quelques millimètres de mon corps, la goutte en tombant dans l’air se refroidi, tout est évidemment question de distance entre mon corps et la bougie. Les gouttes sur mon ventre étaient les moins douloureuses, venaient ensuite celles sur mes seins, et les plus redoutables étaient celle que mon Maître déposait sur mon sexe ! Quand viendra celle qui tombera sur mon clitoris? C’était la grande question à ce moment. Pas ce jour là en tout cas, ce qui fût malgré tout un très grand soulagement pour moi. Une fois mon Maître décidé à passer à autre chose, il me détacha, et me rendit la parole. Mon corps était couvert de cire.

Ce moment m’a véritablement épuisé, mais je me suis alors senti bien, la douleur que j’ai ressenti tout au long de ce moment était forte certes mais inattendue, et très surprenante. Je n’ai même plus véritablement souvenir des émotions que j’ai ressenti sur le coup, comme si la contrainte de parole m’avais également contrainte de pensée, c’était le fouillis dans ma tête, j’absorbais la douleur, toujours dans un espèce de suspense, à peine je sentais un goutte sur moi que je pensais déjà à quand où et comment arriverait la prochaine. Mais le faite que le plaisir ai été au rendez-vous n’est pas seulement une question de douleur, mais de travail sur mon mental, de contraintes physique et de sensations nouvelles.

De nouveaux horizons – la cravache

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Après avoir été ensuite doigtée, léchée, prise, mais aussi insultée humiliée et utilisée, je découvrais le nouveau matériel de Monsieur, il s’agissait d’une cravache, destinée au départ à bien d’autres animaux que la créature que je suis mais qui à des effets sur moi qui sont carrément du même genre, me dresser et me faire obéir! Certes le plaisir personnel que j’en tirerais  de son usage sur moi n’en sera qu’un effet bénéfique supplémentaire, mais cette cravache aura surtout le don de soulager Monsieur de ses pulsions sadiques. Elle était ici pour cela. Je découvrais tout comme la badine la première fois, sous les coups de force de mon Maitre, le plaisir que cela aurai sur moi, je pris quelques coups raisonnablement dosés, la douleurs en comparaison est beaucoup plus superficielle que celle que me procure la badine, qui elle agit plus en profondeur, mais elle à une capacité à faire rougir mon cul qui est délicieuse. Son extrémité en forme de mains laisse une rougeur de la forme exacte sur ma peau et la tige de la cravache quand à elle ne tarde pas non plus à entrainer des boursouflures brûlantes. Mais tout cela n’est qu’un legé avant goût de ce qu’elle peut promettre de plus intéressant lorsque mon Maître l’aura décidé. Reste à savoir quand aurai-je droit à ce privilège… Patience Clarisse…

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